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Auteur G. Scheel |
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Hydrostatische Elbübergänge im Rahmen des Nordseeküstennivellements / H.U. Sandig (1957)
Titre : Hydrostatische Elbübergänge im Rahmen des Nordseeküstennivellements Titre original : [Passages hydrostatiques de l'Elbe lors du nivellement de la côte de la mer du nord] Type de document : Monographie Auteurs : H.U. Sandig, Auteur ; G. Scheel, Auteur Editeur : Francfort sur le Main : Institut für Angewandte Geodäsie Année de publication : 1957 Collection : DGK - B Sous-collection : Angewandte Geodäsie num. 033 Importance : 81 p. Format : 21 x 30 cm Note générale : Bibliographie Langues : Allemand (ger) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Nivellement
[Termes IGN] Elbe (fleuve)
[Termes IGN] nivellement hydrostatiqueIndex. décimale : 30.50 Nivellement - généralités Résumé : (Auteur) Le travail présent donne un rapport des passages de l'Elbe par des nivellements hydrostatiques exécutés et analysés par l'Institut für Angewandte Geodasie (Institut de Géodésie Appliquée) pendant l'année de 1955. Ces nivellements ont été effectués de la part de la Bundesanstalt fur Gewässerkunde, des Landesvermessungsämter Niedersachsen et Schleswig-Holstein et du Vermessungsamt Hamburg (de l'institut fédéral des recherches hydrographiques, des instituts géographiques de la Basse Saxe et de Schleswig-Holstein et du service de topométrie de la ville d'Hambourg) qui ont tous apporté leur aide efficace. L'ancien tracé du passage près de Scheelen-kuhlen était très défavorable pour les mesures hydrostatiques à cause de l'estran très large le long de la rive méridionale de l'Elbe. A cause de sa position plus proche de la côte, il fallait quand même mesurer ce tracé comme deuxième passage. Les mesures du nouveau passage près de Twielen-fleth ont fourni des résultats irréprochables sans aucune difficulté.
A l'aide de l'île de Nefisand située au milieu de l'Elbe, il était possible de mesurer une maille complète, en observant une fois le passage direct de la rivière et en intercalant alors l'île de Nefisand. L'écart de fermeture de cette maille n'était que de 0,13 mm. Comme il s'agit dans ce cas de trois nivellements entièrement indépendants et mesurés à différents jours, ce résultat peut fournir une indication de la précision externe que l'on peut attendre des nivellements hydrostatiques exécutés avec beaucoup de soins.Numéro de notice : 38633 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : POSITIONNEMENT Nature : Monographie Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=63794 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 38633-01 30.50 Livre Centre de documentation Géodésie Disponible Zur praktischen Durchführung von hydrostatischen Nivellements / H.U. Sandig (1957)
Titre : Zur praktischen Durchführung von hydrostatischen Nivellements Titre original : [Pour la réalisation pratique du nivellement hydrostatique] Type de document : Monographie Auteurs : H.U. Sandig, Auteur ; G. Scheel, Auteur Editeur : Francfort sur le Main : Institut für Angewandte Geodäsie Année de publication : 1957 Collection : DGK - B Sous-collection : Angewandte Geodäsie num. 032 Importance : 67 p. Format : 21 x 30 cm Note générale : Bibliographie Langues : Allemand (ger) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Nivellement
[Termes IGN] nivellement hydrostatiqueIndex. décimale : 30.50 Nivellement - généralités Résumé : (Auteur) La publication présente décrit la conduite en tuyaux flexibles et l'appareillage pour le nivellement hydrostatique développés par l'Institut für Angewandte Geodasie. Des indica-tions sur l'exécution du nivellement susmentionné sont fournies. L'important procédé de remplir les tuyaux, qui est fort difficile, a été traité de façon très détaillée. Un processus est indiqué qui garantit presque le remplissage sans bulles d'air. On y trouve de même des détails très importants concernant la construction de l'appareil de remplissage. D'autres indications et règles traitent de la reconnaissance et de l'observation ainsi que de la pose et du relevage du tuyau flexible en caoutchouc. Pour finir, on indique le personnel, l'appareillage, et le temps nécessaires à un passage d'un fleuve en nivellement hydrostatique. Numéro de notice : 38573 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : POSITIONNEMENT Nature : Monographie Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=63792 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 38573-01 30.50 Livre Centre de documentation Géodésie Disponible Systematische Fehler des hydrostatischen Nivellements und Verfahren zu ihrer Ausschaltung / G. Scheel (1956)
Titre : Systematische Fehler des hydrostatischen Nivellements und Verfahren zu ihrer Ausschaltung Titre original : [L'erreur systématique du nivellement hydrostatique et méthodes pour son élimination] Type de document : Monographie Auteurs : G. Scheel, Auteur Editeur : Francfort sur le Main : Institut für Angewandte Geodäsie Année de publication : 1956 Collection : DGK - B Sous-collection : Angewandte Geodäsie num. 027 Importance : 73 p. Format : 21 x 30 cm Note générale : Bibliographie Langues : Allemand (ger) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Nivellement
[Termes IGN] erreur systématique
[Termes IGN] nivellement hydrostatiqueIndex. décimale : 30.50 Nivellement - généralités Résumé : (Auteur) Partant de l'équation de Bernoulli, l'auteur dérive les erreurs systématiques importantes du nivellement hydrostatique et les soumet à une étude très approfondie. Correspondant à son importance, l'erreur provenant de la température y occupe la place la plus étendue. Parce que son influence est proportionnelle ä la composante verticale de la conduite de tuyau flexible, il faut aspirer à une pose aussi horizontale que possible, un postulat qu'on ne peut pas réaliser, en particulier s'il s'agit de mesures pour passer un fleuve. Rejetant la méthode de détermination de la correction de température à l'aide d'échantillons puisés, l'auteur expose un procède utilisant deux liquides, dont la différence de dilatation thermique est aussi grande que possible, et qui se trouvent dans deux systèmes séparés de conduites. Apres avoir discuté plusieurs combinaisons, l'auteur démontre que la combinaison d'eau et d'alcool méthylique satisfait le mieux aux besoins de la pratique. A l'aide d'un exemple observé, l'auteur fait la preuve que l'erreur moyenne d'un nivellement hydrostatique s'abaisse de ± 4,2 mm ä ± 0,8 mm en tenant compte de cette correction de température. Du point de vue théorique, la combinaison de mercure et d'alcool méthylique serait beaucoup plus favorable, mais celle-ci doit rester en dehors à cause des frais non portables. Pour les procédés utilisant deux liquides, les dimensions du tuyau flexible doivent être choisies, si possible, de telle façon que les mêmes augmentations de température correspondent aux mêmes apports de chaleur pendant la même durée.
Puisqu'une différence de la pression atmosphérique se montant à 1 Torr donne lieu à une erreur de 13,6 mm relative ä l'eau, il faut également considérer soigneusement cette source d'erreurs. En général, il suffira d'observer la pression atmosphérique aux deux stations ä l'aide d'appareils barométriques très sensibles et d'en tenir compte d'une façon appropriée. Pour suffire aux exigences de haute précision, il faut recourir ä un procédé utilisant également deux liquides possédant des densités aussi différentes que possible. A ces fins, la combinaison d'eau et de mercure serait très favorable et, si l'on détermine simultanément les erreurs provenant de la pression atmosphérique et de la température, également le triple d'eau, mercure, et alcool méthylique. La possibilité d'attribuer la même pression atmosphérique aux deux ménisques ä l'aide d'une conduite d'air commune, se trouvant au-dessus des deux tubes montants et équipée d'une sortie centrale, ne sera réalisable que dans une mesure très restreinte.
Originairement, le nivellement hydrostatique fournit des points à hauteurs dynamiques égales. Puisque les mesures hydrostatiques s'effectuent le plus souvent près du niveau de la mer, on peut, en général, renoncer à une réduction orthométrique. Le cas échéant, la correction provenant de la différence de gravité peut s'effectuer très simplement en mesurant la gravité aux deux stations extrêmes.
Une différence des rayons des tubes montants provoque des erreurs de capillarité qu'on pourra le mieux éliminer en échangeant les appareils après avoir terminé la première moitié du programme d'observation. Etant donné que les différents états de pureté, dans lesquels se trouvent les parois de verre, provoquent également des différences des hauteurs de montée capillaire, il faut bien veiller à ce que les tubes montants soient toujours soigneusement nettoyés et uniformément humectés. Les erreurs de lecture parallactique, résultant de la forme sphérique des ménisques, sont éliminées en ajustant le niveau d'eau à l'aide d'une pointe micrométrique à guidage au centre. En somme, l'influence des erreurs provenant de la capillarité est diminuée d'une façon analogue que le rayon du tube montant s'accroît.
Abandonnant la manière purement statique de laquelle on a considéré le problème jusqu'à présent, l'auteur s'étend au chapitre 6 sur la grandeur des erreurs provenant d'une égalisation retardée des ménisques à cause d'inertie et de frottement. A l'aide de l'équation étendue de Bernoulli, une forme générale de l'équation d'oscillation est dérivée. Après avoir appliqué cette formule aux liquides exempts de frottement et réels, de même qu'aux courants lamineux et tourbillonnants, l'auteur démontre l'influence quantitative de différentes résistances conductrices. En traitant les oscillations de liquides à l'égard du nivellement hydrostatique, il y a des simplifications essentielles: Il y a lieu de supposer que la forme du courant qui se présente soit lamineuse et, si l'on utilise des conduites de tuyaux flexibles d'une longueur suffisante, l'oscillation est définie assez précisément par l'équation différentielle linéaire homogène du 2° ordre. Afin de réduire la durée de l'égalisation, il faut donner la préférence à l'oscillation périodiquement amortie sur celle de forme apériodique. Il se manifeste cependant que l'équalisation apériodique se produit à tout moment ou l'on utilise des tuyaux flexibles d'une longueur excédant ou 800 m où seulement 3000 m à certaines conditions. Si l'on suppose que les dimensions des tuyaux flexibles, la température, et l'espèce des liquides soient des facteurs donnés, il ne reste que le diamètre des tubes montants qui constitue le seul paramètre libre pour varier la durée de l'équalisation. Afin d'abréger la durée de l'égalisation les profils des tubes montants doivent être aussi petits que possible, particulièrement s'il s'agit de conduites de tuyaux flexibles très longues. Ces profils pourraient aussi atteindre le profil des tuyaux même et le cas échéant, le dépasser légèrement. Aussi doit-on abandonner l'application de vases d'égalisation spéciaux. D'autres simplifications mathématiques se présentent si l'on applique un fort amortissement apériodique. Dans ce cas la courbe moyennant l'égalisation des niveaux pré-sente, sur papier simplement logarithmique, une ligne droite. Alors la durée de l'égalisation est proportionnelle à la longueur du tuyau flexible et au profil du tube montant.
L'étude de deux séries d'observations fait preuve que, si l'on applique l'équalisation apériodique, les résultats de mesure s'accordent très bien avec la théorie. Toutefois si l'on applique l'oscillation périodiquement amortie dans une conduite très courte il résulte que la durée de l'égalisation est plus longue que la théorie n'admet, alors même qu'on tienne compte de valeurs plausibles pour les résistances individuelles. Ces anomalies proviennent de « l'effet de démarrage », qui provoque de considérables pertes d'énergie dans le cas démontré.
Dans l'application pratique, il est indispensable d'effectuer des mesures d'oscillation, ceci afin de constater des bulles d'air contenues au remplissage de tuyaux flexibles et falsifiant les résultats des mesures. En citant un exemple d'observation l'auteur expose la conduite différente d'un remplissage de tuyaux interrompu par des bulles d'air.
Les qualités élastiques du caoutchouc entraînent la conséquence que le diamètre intérieur du conduit tubulaire et ainsi la quantité du liquide dans les tubes de refoulement varient avec le niveau d'eau variable lui-même, surtout dans les régions affectées de la marée. Dans le cas d'un profil non symétrique (pentes inégales des parcours de l'estran) il y a encore un effet secondaire des marées à cause des distances de transport différentes des volumes du liquide à refouler et à recevoir; cet effet secondaire conduit à une différence de ménisques dh dépendant des marées. En prolongeant les observations au delà d'une période des marées, on arrive à éliminer la part principale de l'effet secondaire des marées. Malgré cela, on devrait toujours choisir les emplacements de passage de sorte que les distances de parcours de l'estran eussent le même angle de pente sur les deux côtés.Numéro de notice : 37741 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : POSITIONNEMENT Nature : Monographie Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=63772 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 37741-01 30.50 Livre Centre de documentation Géodésie Disponible Hydrostatische Stromübergänge im Gezeitengebiet ; Untersuchung der Schneidenlagerung eines Libellenprüfers mit Lichtinteferenz / H.U. Sandig (1952)
Titre : Hydrostatische Stromübergänge im Gezeitengebiet ; Untersuchung der Schneidenlagerung eines Libellenprüfers mit Lichtinteferenz Titre original : [Nivellement hydrostatique dans la région des marées] Type de document : Monographie Auteurs : H.U. Sandig, Auteur ; G. Scheel, Auteur ; R. Brein, Auteur Editeur : Munich : Bayerische Akademie der Wissenschaften Année de publication : 1952 Collection : DGK - B Sous-collection : Angewandte Geodäsie num. 006 Importance : 46 p. Format : 21 x 30 cm Langues : Allemand (ger) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Nivellement
[Termes IGN] niveau hydrostatique
[Termes IGN] nivellement hydrostatiqueIndex. décimale : 30.50 Nivellement - généralités Résumé : (Auteur) [texte 1] Pour les besoins du nivellement hydrostatique on construisit un appareil muni d'un tuyau de caoutchouc. Cet appareil aussi bien que le procédé de mesurage furent d'abord testés sur une ligne d'essai traversant le Mein. Ayant perfectionné l'appareil, tout spécialement en augmentant le poids du tuyau par une chaîne de fer, on exécuta deux passages à travers le cours inférieur du Weser, les opérations étant entreprises à l'instigation du "Bundesanstalt für Gewässerkunde". On vit bientôt que, dans la région des marées, même de petites quantités d'air qui se trouvaient dans le tuyau rempli d'eau exerçaient une influence très forte sur les mesures, si les bulles étaient distribuées d'une façon asymétrique. Parce qu'il était assez difficile de remplir le tuyau sans laisser y entrer l'air et bien que le premier fût pratiquement sans air, on constata, au rythme des marées, certaines variations des différences dans les tuyaux de contrôle (verticaux), variations probablement dues à une distribution asymétrique des courants des marées. Les différences montrées par les altitudes des zéros relatives aux points de contrôle choisis chaque fois comme points de rattachement avaient des variations systématiques étranges au cours du changement des marées. Elles peuvent être expliquées par une déviation de la direction de la verticale causée par le flux. C'est ici que, dans un sens qualitatif, on pourrait trouver l'explication de ce phénomène; du point de vue quantitatif, toutefois, l'effet serait probablement trop prononcé.
Abstraction faite des nombreuses mesures d'essai, il fallait 35 heures pour le passage sur le Mein et 14 heures, sans interruption, pour chaque mesure des deux passages sur le Weser, les lectures des tuyaux de contrôle étant faites toutes les 5 minutes en même temps. On étudia, en théorie et en pratique, la fonction des vaisseaux de compensation reliés parallèlement aux tuyaux de contrôle aussi bien que leur dépendance du volume des vaisseaux et de la longueur du tuyau de caoutchouc. A cause de la possibilité limitée du dernier à l'égard du transport de l'eau (à l'intérieur du tuyau caoutchouc), de grands vaisseaux de compensation ne sont pas appropriés.
Il paraît que les mesures du nivellement hydrostatique sont, d'une façon prononcée, exempts d'erreurs systématiques. Les fermetures du nivellement, calculées au moyens des altitudes préliminaires relatives aux points de rattachement sont suffisamment petites. Dans le cas le moins favorable elles sont au-dessous de 5 mm, la portion principale de cette erreur étant due au nivellement géométrique.
Le problème qui est de corriger les mesures en vue des différences de la température dans les deux branches du tuyau n'a pas encore trouvé de solution satisfaisante. Quelquefois la considération de la correction à cause de la température comporte des résultats meilleurs, quelquefois des résultats plus mauvais. Évidemment la fixation des températures d'eau effectives à l'intérieur du tuyau n'est pas encore suffisante, il faut la perfectionner quant à la technique du mesurage.
[texte 2] Le comparateur destiné a l'épreuve des niveaux permet de varier l'inclinaison d'un plan, sur lequel, à chaque côté de la lame, se trouve un dispositif produisant des interférences de la lumière. Ainsi les inclinaisons du plan ajustées moyennant une vis micrométrique sont mesurées par une méthode qui se fonde entièrement sur les observations des interférences. Par conséquent toutes les erreurs qui sont dues à .certaines parties du mécanisme, par exemple à la vis ou au support de la lame, n'exercent pas d'influence sur les mesures mêmes. M. Delmonte a déjà indiqué une méthode qui, employant des interférences, élimine les erreurs dues à la vis micrométrique. A une distance mutuelle d'un mètre les deux dispositifs rendent encore possible la détermination de l'Inclinaison avec une précision de 0,006", ce qui permet aussi l'étalonnage du comparateur à l'aide des interférences de la lumière. C'est avec un tel dispositif que l'on examine le grand comparateur (pour les niveaux) ASKANIA quant au support de sa lame. Pendant ou après le changement de l'inclinaison, on peut encore observer des élévations ou des abaissements aussi petits que 0,014 µ. Les épreuves de la lame, faites avec des inclinaisons différentes, montrent que des déplacements verticaux atteignant un montant de 0,03 µ ne sont que très rares. Pourvu que la vis micrométrique soit irréprochable, les erreurs dues à telles déplacements se montent a 0,014". Donc pour la construction du comparateur, le support de la lame peut être regardé comme un élément très utile, capable de satisfaire aux exigences suprêmes.Numéro de notice : 35697 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : POSITIONNEMENT Nature : Monographie Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=63740 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 35697-01 30.50 Livre Centre de documentation Géodésie Disponible