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Statistical cartography at the U.S. Bureau of the Census / R.C. Klove in Annuaire international de cartographie, n° 7 (1967)
[article]
Titre : Statistical cartography at the U.S. Bureau of the Census Type de document : Article/Communication Auteurs : R.C. Klove, Auteur Année de publication : 1967 Article en page(s) : pp 191 - 199 Langues : Anglais (eng) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Cartographie thématique
[Termes IGN] analyse bivariée
[Termes IGN] cartographie statistique
[Termes IGN] couleur (rédaction cartographique)
[Termes IGN] données statistiques
[Termes IGN] Etats-Unis
[Termes IGN] représentation cartographiqueRésumé : (Auteur) Le but de cet article est de décrire brièvement ce que le bureau des recensements des États-Unis a réalisé dans le domaine de la cartographie statistique et de quelle manière ses efforts actuels se rapportent aux sujets traités durant cette rencontre internationale de cartographie. Le bureau des recensements exécuta ses premiers travaux de cartographie statistique en 1870 et il illustra cette discipline par ses magnifiques atlas polychromes édités à l'occasion des recensements de 1880 et 1890. Ces atlas furent poursuivis jusqu'au recensement de 1920. En 1930, on donna de l'importance à la livraison de cartes détaillées indiquant, pour chaque état, les limites des régions pour lesquelles des données statistiques étaient publiées. D'autres cartes donnant de façon détaillée les recensements urbains par quartiers et blocs de maisons devinrent aussi une partie régulière du programme cartographique. Ces dernières années, on est revenu aux cartes statistiques en couleur et on s'est efforcé de trouver de nouvelles méthodes pour illustrer cartographiquement les données les plus caractéristiques des recensements. La cartographie économique comprend également la représentation sur carte des distributions de données provenant des recensements portant sur l'agriculture, les fabriques, les industries minières et les aspects économiques de la population. Les principaux problèmes rencontrés sont les suivants : 1. choix des sujets à cartographier, 2. choix des signes conventionnels et des modes de présentation, 3. choix du réseau des surfaces de référence, 4. classification des données et 5. fixation des méthodes d'exécution, automation comprise. On a prêté une attention particulière à l'utilisation des couleurs dans les cartes comprenant des isoplèthes et des cercles gradués. Pour toute la gamme des cartes éditées, on s'est efforcé de trouver un équilibre parfait des couleurs et le maximum de lisibilité et d'expression. Cet article décrit et illustre les expériences faites avec des dégradés en une, deux et trois couleurs. L'utilité des cartes par rapport aux tableaux statistiques est un problème auquel tous les bureaux de statistique doivent faire face. Doit-on utiliser les capitaux à disposition et les pages des publications pour des cartes ? Une grande expérience est nécessaire pour mettre correctement en valeur les distributions à deux variables cachées dans les tableaux statistiques. La réponse semble se trouver dans le développement de la cartographie automatisée.(Auteur) Le but de cet article est de décrire brièvement ce que le bureau des recensements des États-Unis a réalisé dans le domaine de la cartographie statistique et de quelle manière ses efforts actuels se rapportent aux sujets traités durant cette rencontre internationale de cartographie. Le bureau des recensements exécuta ses premiers travaux de cartographie statistique en 1870 et il illustra cette discipline par ses magnifiques atlas polychromes édités à l'occasion des recensements de 1880 et 1890. Ces atlas furent poursuivis jusqu'au recensement de 1920. En 1930, on donna de l'importance à la livraison de cartes détaillées indiquant, pour chaque état, les limites des régions pour lesquelles des données statistiques étaient publiées. D'autres cartes donnant de façon détaillée les recensements urbains par quartiers et blocs de maisons devinrent aussi une partie régulière du programme cartographique. Ces dernières années, on est revenu aux cartes statistiques en couleur et on s'est efforcé de trouver de nouvelles méthodes pour illustrer cartographiquement les données les plus caractéristiques des recensements. La cartographie économique comprend également la représentation sur carte des distributions de données provenant des recensements portant sur l'agriculture, les fabriques, les industries minières et les aspects économiques de la population. Les principaux problèmes rencontrés sont les suivants : 1. choix des sujets à cartographier, 2. choix des signes conventionnels et des modes de présentation, 3. choix du réseau des surfaces de référence, 4. classification des données et 5. fixation des méthodes d'exécution, automation comprise. On a prêté une attention particulière à l'utilisation des couleurs dans les cartes comprenant des isoplèthes et des cercles gradués. Pour toute la gamme des cartes éditées, on s'est efforcé de trouver un équilibre parfait des couleurs et le maximum de lisibilité et d'expression. Cet article décrit et illustre les expériences faites avec des dégradés en une, deux et trois couleurs. L'utilité des cartes par rapport aux tableaux statistiques est un problème auquel tous les bureaux de statistique doivent faire face. Doit-on utiliser les capitaux à disposition et les pages des publications pour des cartes ? Une grande expérience est nécessaire pour mettre correctement en valeur les distributions à deux variables cachées dans les tableaux statistiques. La réponse semble se trouver dans le développement de la cartographie automatisée. Numéro de notice : A1967-058 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : GEOMATIQUE Nature : Article DOI : sans Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=31312
in Annuaire international de cartographie > n° 7 (1967) . - pp 191 - 199[article]Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45374-01 39.04 Revue Centre de documentation En réserve L003 Disponible The data model concept in statistical mapping / George F. Jenks in Annuaire international de cartographie, n° 7 (1967)
[article]
Titre : The data model concept in statistical mapping Type de document : Article/Communication Auteurs : George F. Jenks, Auteur Année de publication : 1967 Article en page(s) : pp 186 - 190 Langues : Anglais (eng) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Cartographie thématique
[Termes IGN] carte isoplèthe
[Termes IGN] cartographie statistique
[Termes IGN] modèle conceptuel de donnéesRésumé : (Auteur) La manière dont les géographes considèrent différentes distributions statistiques pose une énigme. Si elles sont présentées simplement au moyen de cartes comprenant des courbes de niveau et des teintes hypsométriques, la plupart d'entre eux y découvre une surface terrestre en trois dimensions. Quelques-uns poussent cette notion de volume plus loin et lisent dans les isohyètes d'une carte le volume d'eau tombé sur le sol dans un laps de temps déterminé. Mais il y en a peu qui, voyant des distributions statistiques symbolisées sur une carte par des surfaces teintées en dégradé et délimitées par des isoplèthes, les interprètent comme des volumes ; au contraire, on a plutôt tendance à considérer ces figures comme la représentation d'une grandeur dont les deux dimensions varient horizontalement sur une surface plane. Cet article a justement pour but de montrer que les distributions statistiques devraient être pensées dans un espace à trois dimensions et que les généralisations effectuées au moyen d'isoplèthes donneraient une image plus correcte des données, si cela était le cas. Afin d'illustrer ce qui précède, on a introduit la notion de système de données, aussi bien comme moyen de représentation de celles-ci que pour effectuer des comparaisons visuelles et statistiques entre les données et leur généralisation. Les dessins généralisés se basant sur des systèmes de données peuvent assumer des formes très variées dépendant du degré de simplification et de la méthode de généralisation utilisée. Il est essentiel que le dessin généralisé conserve la configuration générale de la surface de la représentation graphique du système de données et soit égal à son volume. La différence entre les données et leur généralisation peut être appelée de façon imagée la «couverture d'erreur». Si ce facteur d'erreur est maintenu à un minimum et s'il est distribué uniformément sur toute la carte, la généralisation et les isoplèthes qui en résultent sont d'autant plus précises. Ces notions peuvent très bien être représentées graphiquement en trois dimensions, mais peu de cartographes désirent aller aussi loin dans leur traitement cartographique des données.On peut exécuter des représentations exactes au moyen d'isoplèthes en ordonnant les données dans des classes ayant des écarts absolument ou approximativement égaux. Évidemment, plus le nombre de classes est grand, plus la généralisation est correcte. Cependant, le nombre de classes utilisé pour les cartes comportant des isoplèthes est limité par les possibilités de discernement de l'œil humain entre différentes teintes ou valeurs. L'ensemble de données concernant la valeur ajoutée par le travail industriel calculée par habitant aux États-Unis, par exemple, comprend quarante-huit unités de surface séparées par quarante-sept seuils différents de hauteur variable. Si l'on utilise des dégradés d'une seule couleur, il faut généraliser et réduire ces quarante-sept seuils à sept classes ou moins. Le choix entre des classes ayant le même écart moyen ou ayant un écart moyen à peu près semblable dépend de l'étendue des données et du cadre des notions à travers lequel on les considère. Si on détermine des classes ayant des écarts moyens égaux, le facteur d'erreur sera réparti uniformément sur toute la surface de la carte. C'est ce que l'on désire habituellement, mais un traitement différent des données peut être préférable pour certaines distributions statistiques. Tel est le cas quand il y a un étalement important des valeurs prises par les données (c'est-à-dire lorsque des «bosses» et des «plaines», statistiquement parlant, se succèdent); il est alors nécessaire de mettre en évidence toutes les variations d'un extrême à l'autre. J'utilise fréquemment cette notion dans la rédaction des cartes de densité de la population afin de pouvoir montrer les différences de peuplement aussi bien dans les régions rurales à faible densité que dans les régions urbaines fortement habitées. Mon analyse raisonnée dans ce cas est de créer des classes possédant des écarts moyens à peu près semblables. L'application de ces notions nous donne des cartes dont les isoplèthes restituent de près le volume de la distribution géographique que l'on veut cartographier. De plus, la technique rend possible une méthode de traitement logique et répétée des distributions statistiques et ces procédés peuvent être adaptés à la rédaction de cartes au moyen de calculatrices. Numéro de notice : A1967-057 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : GEOMATIQUE Nature : Article DOI : sans Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=31311
in Annuaire international de cartographie > n° 7 (1967) . - pp 186 - 190[article]Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45374-01 39.04 Revue Centre de documentation En réserve L003 Disponible The mapping of industry / D.R. Macgregor in Annuaire international de cartographie, n° 7 (1967)
[article]
Titre : The mapping of industry Type de document : Article/Communication Auteurs : D.R. Macgregor, Auteur Année de publication : 1967 Article en page(s) : pp 168 - 185 Langues : Anglais (eng) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Cartographie thématique
[Termes IGN] carte synthétique
[Termes IGN] carte thématique
[Termes IGN] Etats-Unis
[Termes IGN] représentation cartographique
[Termes IGN] secteur secondaireRésumé : (Auteur) Cet article propose une méthode d'élaboration des cartes industrielles de valeur autant scientifique que pratique, qui puisse être admise à l'échelon international et qui élève cette branche de la cartographie à un niveau comparable à celui de la cartographie physique. Deux principes ont été observés : le premier est de n'utiliser que des données qu'on peut obtenir sans difficultés excessives, le deuxième est de les traiter en vue d'atteindre un effet cartographique maximum. Ainsi, la méthode présentée ici s'applique à l'élaboration de cartes où les industries sont reportées par usine, par ville et par région aux échelles respectives de 1 : 10000, 1 : 250000 et 1 : 1 000000. Le problème numéro un est le choix des informations qu'on veut représenter sur la carte. Comme toute implantation industrielle offre quinze critères statistiques possibles, on ne peut en choisir que six pour des raisons de convenance, de clarté et de pratique. Les données choisies dans notre article sont la surface occupée par l'industrie, le capital engagé, le rendement, le personnel employé selon le sexe, et l'ancienneté de l'établissement. Ce choix des critères doit être modifié lorsqu'on établit des cartes industrielles par région. Ensuite viennent les problèmes difficiles concernant l'harmonisation des différents étalements propres à chaque groupe de valeurs statistiques et la comparaison de données aussi hétéroclites que des acres, des livres sterling, des nombres de personnes et des années. La solution choisie - peut-être la seule possible - a été de répartir chaque donnée en six classes statistiques, un procédé qui s'est avéré possible seulement après analyse et essai sur des cas réels. En dernier lieu, cette présentation cartographique des industries, aussi bien qualitative que quantitative, a été menée à bien en utilisant des signes conventionnels en forme d'astérisque, car ils prennent peu de place, attirent le regard et forment rapidement des silhouettes typiques reconnaissables. Cette méthode d'établissement des cartes industrielles présente des faits et des caractéristiques que la formation géographique traditionnelle a ignorés jusqu'à présent : de plus, elle montre comment la rédaction des cartes industrielles peut être appliquée à la planification urbaine, régionale et nationale.(Auteur) Cet article propose une méthode d'élaboration des cartes industrielles de valeur autant scientifique que pratique, qui puisse être admise à l'échelon international et qui élève cette branche de la cartographie à un niveau comparable à celui de la cartographie physique. Deux principes ont été observés : le premier est de n'utiliser que des données qu'on peut obtenir sans difficultés excessives, le deuxième est de les traiter en vue d'atteindre un effet cartographique maximum. Ainsi, la méthode présentée ici s'applique à l'élaboration de cartes où les industries sont reportées par usine, par ville et par région aux échelles respectives de 1 : 10000, 1 : 250000 et 1 : 1 000000. Le problème numéro un est le choix des informations qu'on veut représenter sur la carte. Comme toute implantation industrielle offre quinze critères statistiques possibles, on ne peut en choisir que six pour des raisons de convenance, de clarté et de pratique. Les données choisies dans notre article sont la surface occupée par l'industrie, le capital engagé, le rendement, le personnel employé selon le sexe, et l'ancienneté de l'établissement. Ce choix des critères doit être modifié lorsqu'on établit des cartes industrielles par région. Ensuite viennent les problèmes difficiles concernant l'harmonisation des différents étalements propres à chaque groupe de valeurs statistiques et la comparaison de données aussi hétéroclites que des acres, des livres sterling, des nombres de personnes et des années. La solution choisie - peut-être la seule possible - a été de répartir chaque donnée en six classes statistiques, un procédé qui s'est avéré possible seulement après analyse et essai sur des cas réels. En dernier lieu, cette présentation cartographique des industries, aussi bien qualitative que quantitative, a été menée à bien en utilisant des signes conventionnels en forme d'astérisque, car ils prennent peu de place, attirent le regard et forment rapidement des silhouettes typiques reconnaissables. Cette méthode d'établissement des cartes industrielles présente des faits et des caractéristiques que la formation géographique traditionnelle a ignorés jusqu'à présent : de plus, elle montre comment la rédaction des cartes industrielles peut être appliquée à la planification urbaine, régionale et nationale. Numéro de notice : A1967-056 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : GEOMATIQUE Nature : Article DOI : sans Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=31310
in Annuaire international de cartographie > n° 7 (1967) . - pp 168 - 185[article]Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45374-01 39.04 Revue Centre de documentation En réserve L003 Disponible Towards the improvement of the dot map / R.E. Dahlberg in Annuaire international de cartographie, n° 7 (1967)
[article]
Titre : Towards the improvement of the dot map Type de document : Article/Communication Auteurs : R.E. Dahlberg, Auteur Année de publication : 1967 Article en page(s) : pp 157 - 167 Note générale : Bibliographie Langues : Anglais (eng) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Rédaction cartographique
[Termes IGN] densité des points
[Termes IGN] distribution spatiale
[Termes IGN] grain
[Termes IGN] légende cartographique
[Termes IGN] représentation cartographique
[Termes IGN] trameRésumé : (Auteur) Cet article est le résultat d'un travail expérimental réalisé en relation avec la carte de la population mondiale au millionième ; il examine la méthode des points en tant que partie de la longue recherche effectuée dans le domaine de la méthodologie cartographique et du contrôle de la qualité. Il passe en revue les notions fondamentales de cette méthode cartographique, puis il identifie et décrit les nombreux modes d'utilisation des points. La comparaison entre la notion d'un distribution de points et celle d'une surface statistique (volume de la distribution géographique) conduit à la conclusion que les points ne sont rien d'autre qu'une façon de représenter une telle surface et constituent, en effet, l'analogue, en deux dimensions, d'une surface statistique à trois dimensions. Cette analogie n'aide pas seulement le cartographe dans son choix d'un système de données approprié à la représentation par points, mais guide aussi l'usager dans l'interprétation de l'image formée par ceux-ci. L'examen des problèmes soulevés par l'interprétation d'une distribution de points comprend l'identification des particularités du mode d'arrangement des points utilisé pour la représentation du système de données aussi bien que la connaissance des caractéristiques se rapportant aux nombreuses notions concernant la signification des points. Ces dernières incluent les problèmes posés par la confusion des points dans les zones à forte densité, la difficulté de déterminer des densités absolues, celle de fixer la valeur d'un point aussi bien dans le milieu gué dans les bords de la distribution, l'incertitude dans l'association du point avec l'espace qui l'entoure et dans la compréhension de la signification de l'image formée par les points en l'absence de données de référence significatives. Des solutions claires et franches ne peuvent être offertes à tous ces problèmes bien que certaines indications soient suggérées dans cet article. L'une d'entre elles est un rappel au cartographe de la nécessité de choisir une forme adéquate du système de données avant de la traduire sous forme de points. Une autre de ces suggestions est la nécessité de rédiger des légendes meilleures, afin de rehausser la communication entre le cartographe et l'usager de sa carte. Une autre nécessité encore plus évidente est celle de joindre à la carte des données de référence supplémentaires en relation soit avec la distribution représentée, soit avec la «carte mentale» du lecteur. Enfin, le cartographe doit se faire un devoir d'améliorer l'interprétation par le lecteur de la distribution représentée par la méthode des points en indiquant les espaces vides importants de celle-ci et d'ajouter, au besoin, une délimitation des zones de densité compatible avec l'image graphique des points. Numéro de notice : A1967-055 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : GEOMATIQUE Nature : Article DOI : sans Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=31309
in Annuaire international de cartographie > n° 7 (1967) . - pp 157 - 167[article]Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 45374-01 39.04 Revue Centre de documentation En réserve L003 Disponible Cartographie théorique et technique, 2. Fascicule 2, Méthodes générales de rédaction cartographique / Georges Alinhac (1966)
Titre de série : Cartographie théorique et technique, 2 Titre : Fascicule 2, Méthodes générales de rédaction cartographique Type de document : Guide/Manuel Auteurs : Georges Alinhac, Auteur Mention d'édition : 2 Editeur : Paris : Institut Géographique National - IGN (1940-2007) Année de publication : 1966 Importance : 140 p. Format : 21 x 27 cm Langues : Français (fre) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Rédaction cartographique
[Termes IGN] atlas
[Termes IGN] cartographie thématique
[Termes IGN] couleur (rédaction cartographique)
[Termes IGN] dessin
[Termes IGN] écriture
[Termes IGN] estompage
[Termes IGN] généralisation cartographique
[Termes IGN] habillage cartographique
[Termes IGN] hachure
[Termes IGN] isohypse
[Termes IGN] orographie
[Termes IGN] planche
[Termes IGN] planimétrie
[Termes IGN] projection
[Termes IGN] rédaction cartographique
[Termes IGN] représentation cartographique
[Termes IGN] signe conventionnel
[Termes IGN] taille douce
[Termes IGN] teinte hypsométriqueNuméro de notice : 42400B Affiliation des auteurs : IGN (1940-2011) Thématique : GEOMATIQUE Nature : Manuel de cours IGN Accessibilité hors numérique : Non accessible via le SUDOC Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=47642 Congres SIP, Lisbonne, 1964 : commission 4 : application de la photogrammétrie à la représentation de la surface de la terre / Maurice Baussard in Bulletin [Société Française de Photogrammétrie], n° 18 (Avril 1965)PermalinkDie Herausarbeitung der Landschaftsformen in der neuen "Topographischen Übersichtskarte 1:200.000" von Deutschland / H. Knorr (1965)PermalinkLes principaux types de peuplement du sud-est du Dahomey et leur représentation cartographique / Jean Hurault (1965)PermalinkCartographie théorique et technique, 3. Fascicule 3, Méthodes appliquées à l'IGN / Georges Alinhac (1964)PermalinkPhysical Atlas Maps / E. Lehmann in Annuaire international de cartographie, n° 4 (1964)PermalinkTerrain Representation and Map Function / J.C. Sherman in Annuaire international de cartographie, n° 4 (1964)PermalinkCartographie historique et descriptive, Fascicule 1. Cartographie ancienne / Georges Alinhac (1963)PermalinkCartographie historique et descriptive, Fascicule 2. Cartes de base et cartes dérivées françaises métropolitaines / Georges Alinhac (1963)PermalinkExtended uses of the method of orthogonal mapping of traves of parallel, inclined planes with a surface, especially terrain / Norman J.W Thrower in Annuaire international de cartographie, n° 3 (1963)PermalinkKartenverwandte Darstellungen der Erdoberfläche: eine systematische Übersicht / Eduard Imhof in Annuaire international de cartographie, n° 3 (1963)Permalink