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CartASUR /
Nom :
CartASUR
titre complet :
représentations CARTographiques de la qualité des Ambiances Sonores URbaines - acceptabilité des cartes
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Cartographie de l’agrément sonore de l’espace public urbain à partir de données géo-référencées / Catherine Lavandier (2016)
Titre : Cartographie de l’agrément sonore de l’espace public urbain à partir de données géo-référencées Type de document : Article/Communication Auteurs : Catherine Lavandier, Auteur ; Pierre Aumond, Auteur ; Saul Gomez , Auteur ; Catherine Dominguès , Auteur Editeur : Société française d'acoustique Année de publication : 2016 Projets : CartASUR / Conférence : CFA 2016, 13e Congrès français d'acoustique 11/04/2016 15/04/2016 Le Mans France OA Proceedings Importance : pp 1321 - 1327 Langues : Français (fre) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Applications SIG
[Termes IGN] cartographie du bruit
[Termes IGN] données localisées
[Termes IGN] espace public
[Termes IGN] zone urbaineRésumé : (auteur) Aujourd’hui les cartes de bruit proposées dans le cadre de la directive européenne s’appuient sur le calcul des niveaux sonores Lday, Levening et Lnight. Ces niveaux sont calculés à partir de modèles d'émission et de propagation qui sont coûteux en temps et les cartes de bruits qui en découlent sont souvent critiquées car éloignées de la perception des citadins. Ainsi des modèles de calcul de l’agrément sonore, plus proches du ressenti des usagers, ont été proposés dans le cadre du projet Cart_ASUR. Ils s’appuient soit sur des variables perceptives, soit sur des mesures acoustiques, soit sur des données géo-référencées, ces dernières étant souvent déjà intégrées dans les Systèmes d'Information Géographique (SIG) de la majorité des métropoles françaises. Cet article propose de comparer pour 89 situations parisiennes, les agréments sonores réellement perçus (provenant d'une enquête) avec ceux issus de modèles utilisant des données géo-référencées. Il s’intéresse aussi à la modélisation de variables perceptives qui ont une influence sur l’agrément sonore telles que l’intensité sonore perçue, le temps de présence perçu de la circulation, des voix et des oiseaux, toujours à partir des données géo-référencées. Pour ce faire, les données géo-référencées telles le trafic routier, la présence des jardins, les commerces alimentaires, les restaurants, les bars, les écoles, les marchés, sont transformées en densités de noyau. Ces densités, simples et rapides à calculer, permettent de prédire très efficacement, et sans l’utilisation des cartes de bruits construites sur le Lday, l'agrément sonore dans l’espace public urbain. En effet, la variance de l’agrément sonore expliquée par ces densités peut atteindre 68%. Le Lday, principal indicateur actuellement proposé aux citoyens, ne permet d’en expliquer que 65%. Numéro de notice : C2016-066 Affiliation des auteurs : LASTIG MATIS+Ext (2012-2019) Thématique : GEOMATIQUE/URBANISME Nature : Communication nature-HAL : ComAvecCL&ActesPubliésNat DOI : sans En ligne : https://hal.science/hal-01465521v1 Format de la ressource électronique : URL article Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=98123