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Auteur Gilles Palsky |
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Amélioration de la carte topographique pour les daltoniens / Francis Dhée (2013)
Titre : Amélioration de la carte topographique pour les daltoniens Type de document : Thèse/HDR Auteurs : Francis Dhée , Auteur ; Gilles Palsky, Directeur de thèse ; Anne Ruas , Directeur de thèse Editeur : Paris : Université de Paris 1 Panthéon Sorbonne Année de publication : 2013 Importance : 551 p. Format : 21 x 29 cm Note générale : bibliographie
Université Paris 1 - Panthéon Sorbonne, École nationale des sciences géographiques, École doctorale de Géographie de Paris
Document numérique conservé au CDOS, mais trop lourd pour être supporté par PMB.Langues : Français (fre) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Rédaction cartographique
[Termes IGN] cartographie topographique
[Termes IGN] chromatopsie
[Termes IGN] couleur à l'écran
[Termes IGN] couleur imprimée
[Termes IGN] daltonisme
[Termes IGN] sémiologie graphiqueIndex. décimale : THESE Thèses et HDR Résumé : (auteur) Depuis un siècle la carte topographique française est en couleur. Celles-ci ont été choisies et ont évolué pour assurer la meilleure lisibilité pour les utilisateurs trichromates normaux – c’est-à-dire les personnes qui voient bien la couleur. Mais en France, environ 8% des hommes perçoivent mal la couleur, depuis une gêne légère à une confusion importante. Comment peut-on améliorer la carte topographique pour ces personnes ? Après un historique et une définition des déficiences visuelles de la couleur, nous analysons les solutions possibles sur la base d’un questionnaire réalisé auprès de quarante-sept daltoniens. Pour ce faire, nous étudions les possibilités données par la sémiologie graphique et nous explorons des solutions basées sur des indicateurs de différence de teinte. Cette recherche nous permet de proposer une évolution de la légende de la carte topographique qui donne, à plus de 90% des daltoniens, un meilleur accès à l’information géographique communiquée par la cartographie. Note de contenu : PARTIE 1
Introduction
A. Les couleurs de la carte topographique
1. Définition
2. La carte topographique
3. Problèmes potentiels pour les daltoniens
4. Conclusion
B. La couleur et la carte
C. La couleur en cartographie, éléments de sémiologie graphique
1. La carte efficace
2. La sémiologie graphique
3. Impact des variables visuelles sur la vision des daltoniens
4. Conclusion
D. La vision de la couleur
1. Histoire des théories de la couleur
2. Perception humaine de la couleur
3. La lumière
4. L’objet, interaction de la lumière sur la matière
5. L’œil
6. Niveaux lumineux et couleurs métamères
7 La création de l’image
8. Les systèmes ordonnés de couleur
9. Le cercle chromatique utilisé
10. Conclusion
E. Les déficiences visuelles de la couleur
1. Vocabulaire
2. Historique
3. Causes
4. Classification
5. Fréquence des dyschromatopsies
6. Les lignes de confusion
7. Les tests de détection
8. Conclusion
F Cartographie pour daltoniens, l’état de l’art
1. Les ouvrages sur la cartographie
2. Les livres d’ophtalmologie
3. Les cartes
4. Les recherches et développements
5. Autres études
6. Conclusion
G. Descriptions de la vision des daltoniens
1. Des degrés « illimités » de vision
2. Descriptions par le nom des couleurs
3. Descriptions avec les logiciels de simulation
4. Descriptions faites par les daltoniens
5. Conclusion : une autre façon de voir
H. Conclusion de la partie 1
PARTIE 2
A. Méthodes de recherche
B. Création et protocole du Test
1. Contexte
2. Objectifs du test
3. Le protocole du test
4. Validation
5. Durée du test
C. Population testée
1. Recrutement
2. Tests de détection utilisés
3. Statistiques de la population testée
4. Conclusion
D. Les limites de l’étude
1. La population testée
2. Les cartes utilisées
E. Enrichissement des descriptions de la vision des daltoniens
1. Proposition d’explications de la vision des daltoniens
2 Retour sur les descriptions de la vision des daltoniens de la partie 1
3. Conclusion
F. La lecture de carte
1. La proximité des couleurs entre elles
2. Les variations, couleur et luminosité
3. Les relations créées par la légende
4. Le temps d’accès à l’information
5. Le doute
6. Conclusion
G. Le test, questions commentaires, analyses et résultats
1. Questions, commentaires et résultats
2. Fin du questionnaire 20
H. Analyses des résultats et propositions de solutions
1. Vision des daltoniens et sémiologie cartographique
2. Création d'une nouvelle carte ou amélioration de la carte existante
3. Améliorations de la carte topographique au 1/25 000
4. Propositions d’améliorations pour d’autres cartes
5. Utilisation des résultats
I. Conclusion
J. PerspectivesNuméro de notice : 15920 Affiliation des auteurs : ENSG (2012-2019) Thématique : GEOMATIQUE Nature : Thèse française Note de thèse : Thèse de doctorat : Géographie : Paris 1 : 2013 Organisme de stage : COGIT (IGN) nature-HAL : Thèse DOI : sans Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=80098 Exemplaires(2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 15920-01 THESE Livre Centre de documentation Thèses Disponible 15920-02 K325 Livre LASTIG Dépôt en unité Exclu du prêt Map design vs sémiologie graphique : réflexions sur deux courants de la cartographie théorique / Gilles Palsky in Cartes & Géomatique, n° 212 (juin 2012)
[article]
Titre : Map design vs sémiologie graphique : réflexions sur deux courants de la cartographie théorique Type de document : Article/Communication Auteurs : Gilles Palsky, Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : pp 7 - 12 Note générale : Bibliographie Langues : Français (fre) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Cartographie
[Termes IGN] cartologie
[Termes IGN] conception cartographique
[Termes IGN] sémiologie graphiqueRésumé : (Auteur) L'année 1952 apparaît comme une date clé dans la réflexion théorique sur les cartes, avec la publication aux États-Unis de l'ouvrage d'Arthur H. Robinson, The Look of Maps, et en France de la première « recherche graphique » de Jacques Bertln. Ces contributions pionnières furent à l'origine de deux grands domaines de recherche désignés respectivement comme le « map design » et la « sémiologie graphique ». Ces courants de pensée partagent certains caractères importants : tous deux introduisent le lecteur dans le processus de la communication cartographique, et mettent l'accent sur les éléments graphiques de la carte et leur efficacité. Pour autant, les échanges entre la tradition anglo-saxonne issue des travaux de Robinson et la recherche française constituée autour des préceptes bertiniens restent limités. La sémiologie graphique de Berlin n'emprunte quasiment rien aux expériences conduites par les disciples de Robinson sur les symboles des cartes. Inversement, le traité Sémiologie graphique. Les diagrammes - Les réseaux - Les cartes, publié en 1967, ne trouve pas d'écho significatif parmi les cartographes américains. Cet article tente d'expliquer les raisons de cette relative ignorance réciproque. En sus des probables barrières linguistiques, et de la traduction tardive de l'œuvre de Bertin en anglais, les deux courants présentent des différences fondamentales, qui renforcent leur mutuelle incommunicabilité. Ils diffèrent non seulement d'un point de vue scientifique, mais aussi sur un plan que l'on pourrait dire sociologique et institutionnel. Cet article aborde également la postérité très différente du « map design » et de la « sémiologie graphique ». Dans le contexte de la révolution technologique qui affecte la cartographie, le design cartographique montre une meilleure capacité d'adaptation. Toutefois, la sémiologie graphique conserve tout son intérêt pour la cartographie contemporaine, à condition que les règles exposées il y a plus de quarante ans fassent l'objet d'une réévaluation critique. Numéro de notice : A2012-339 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : GEOMATIQUE Nature : Article nature-HAL : ArtAvecCL-RevueNat DOI : sans En ligne : http://www.lecfc.fr/new/articles/212-article-1.pdf Format de la ressource électronique : URL Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=31785
in Cartes & Géomatique > n° 212 (juin 2012) . - pp 7 - 12[article]Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 021-2012021 RAB Revue Centre de documentation En réserve L003 Disponible Cartes participatives, cartes collaboratives : La cartographie comme maïeutique / Gilles Palsky in Le monde des cartes, n° 205 (septembre 2010)
[article]
Titre : Cartes participatives, cartes collaboratives : La cartographie comme maïeutique Type de document : Article/Communication Auteurs : Gilles Palsky, Auteur Année de publication : 2010 Article en page(s) : pp 49 - 60 Langues : Français (fre) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Cartographie
[Termes IGN] approche participative
[Termes IGN] cartographie thématique
[Termes IGN] interactivité
[Termes IGN] OpenStreetMap
[Termes IGN] participation du public
[Termes IGN] SIG participatif
[Termes IGN] technologies de l'information et de la communicationRésumé : (Auteur) Cette communication s'intéresse à des formes de cartographie, de développement récent, dites wikimaps, cartes ou SIG participatifs, cartes collaboratives, communautaires, etc. Ces catégories représentent des expériences très variées, mais elles ont comme point commun la production d'une information géographique par une communauté d'individus, dans une logique dite «bottom-up», de la base vers le sommet. Ces cartes s'opposent ainsi à une vision du territoire venue d'en haut, imposée par un expert ou une institution. On pourrait décrire cette cartographie comme une cartographie sans cartographes. En réalité, les cartographes professionnels peuvent jouer un rôle dans les pratiques collaboratives, même si celui-ci est très variable. Nous tentons dans cet article de décrire la diversité des cartographies participatives et de mesurer leur part dans un processus de démocratisation de la cartographie. Le produit final résultant des formes de cartographie participative semble étranger à toute préoccupation de communication, et les règles sémiologiques s'y trouvent le plus souvent réduites au strict minimum. Il ne peut cependant pas être dédaigné au nom de ces faiblesses graphiques. Il faut en reconnaître la valeur sociale et admettre qu'elle autorise un processus de communication différent de celui qu'envisagent les carto-sémioticiens, puisque situé en amont de la construction des cartes, avec pour but de faire émerger une connaissance spécifique sur les territoires. Par ailleurs, le succès de telles cartes, en particulier sur Internet, peut être l'occasion de diffuser la connaissance de quelques règles basiques de la communication visuelle. Numéro de notice : A2010-420 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : GEOMATIQUE Nature : Article DOI : sans En ligne : http://www.lecfc.fr/new/articles/205-article-5.pdf Format de la ressource électronique : URL article Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=30613
in Le monde des cartes > n° 205 (septembre 2010) . - pp 49 - 60[article]Exemplaires(2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 021-2010032 RAB Revue Centre de documentation En réserve L003 Disponible 021-2010031 RAB Revue Centre de documentation En réserve L003 Disponible Modèle d'amélioration automatique des contrastes de couleur en cartographie : application aux cartes de risque / Elisabeth Chesneau (2006)
Titre : Modèle d'amélioration automatique des contrastes de couleur en cartographie : application aux cartes de risque Titre original : Model for the automatic improvement of colour contrasts in cartography : application to risk maps Type de document : Thèse/HDR Auteurs : Elisabeth Chesneau , Auteur ; Gilles Palsky, Directeur de thèse Editeur : Champs/Marne : Université de Marne-la-Vallée Année de publication : 2006 Importance : 3 p. Format : 21 x 30 cm Note générale : Bibliographie
Thèse pour obtenir le grade de docteur de l'université de Marne-la-Vallée, spécialité sciences de l'information géographique
Prix SIGMA de la meilleure Thèse en géomatique de 2004 à 2006Langues : Français (fre) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Cartographie
[Termes IGN] automatisation
[Termes IGN] base de connaissances
[Termes IGN] cartographie des risques
[Termes IGN] contraste de couleurs
[Termes IGN] intensité lumineuse
[Termes IGN] itération
[Termes IGN] lisibilité perceptive
[Termes IGN] saturation de la couleur
[Termes IGN] schéma conceptuel de données
[Termes IGN] teinteIndex. décimale : THESE Thèses et HDR Résumé : (Auteur) Les cartes, auparavant produites en petites quantités et réservées à des experts, représentent aujourd'hui une source essentielle d'information. Leur multiplication s'explique par le développement exponentiel des outils informatisés et la diversification des champs d'application où on les utilise. Prenons comme exemple les cartes qui représentent des risques sur un territoire. Les gouvernements et les média mènent de nombreuses actions pour sensibiliser la population aux risques et aux catastrophes naturelles ou technologiques. La carte de risque est un outil essentiel de négociation, de communication et d'information sur les risques. Tout d'abord, elle aide à prendre des décisions ou à négocier des aménagements futurs d'un territoire. Ensuite, elle est utilisée pour réglementer les occupations du sol. Enfin, la carte s'avère un outil d'information pour tout public souhaitant connaître la localisation des risques sur un territoire. Dans tous les cas de figure, la carte doit être claire pour être comprise par son lecteur. Or, les données sont parfois difficiles à cartographier car elles peuvent être denses localement ou se chevaucher comme dans les cartes de risque. Nous pensons qu'une utilisation de la couleur plus efficace peut rendre une carte plus lisible. Ceci nous amène à poser deux objectifs pour notre recherche : le premier est de rendre la carte plus lisible et donc plus efficace en améliorant ses contrastes colorés ; le second consiste à améliorer la lisibilité des cartes automatiquement, grâce à un système d'évaluation et de proposition fonctionnant de lui-même. L'approche adoptée pour mieux cerner les éléments qui interviennent dans l'élaboration et la lecture des contrastes colorés est pluridisciplinaire (sciences physiques, psychologie, peinture). Elle permet de fixer deux types de données de référence à introduire dans notre futur modèle : une palette de couleurs de référence organisées selon leurs teinte, clarté et saturation ; une base de connaissances sur les contrastes colorés, qui s'appuie sur les contrastes colorés proposés par J. Itten (peintre et graphiste suisse du 20eme siècle), pour savoir quels contrastes permettent de représenter correctement des relations de différence, association ou ordre entre les signes cartographiques. Suite à cette analyse, nous proposons de développer un modèle qui améliore automatiquement les contrastes de couleur dans les cartes en analysant les contrastes autour de chaque objet cartographique selon son voisinage coloré : 1-Un schéma d'organisation des données sert de réceptacle aux données de l'utilisateur et aux légendes. Le graphique (dont la couleur) est structuré sous la forme d'objets, ce qui facilite la réalisation de nombreuses actions sur ces objets telles que leur création, leur récupération, leur manipulation ou leur modification. 2-Un processus automatique d'amélioration des contrastes est mis en œuvre. Il consiste à effectuer plusieurs cycles itératifs qui font passer la carte d'un état valide à un état validé suivant. Cycle après cycle, la carte devient plus lisible et donc mieux contrastée. Pendant chaque cycle, un nombre limité de couleurs est modifié. L'ensemble des cycles permet de résoudre les plus mauvais contrastes de la carte. Un prototype ARiCo (Amélioration automatique des Cartes de Risque par le Contraste coloré) est développé pour valider notre modèle. Note de contenu : Introduction générale
Volet A Objectifs et paramètres pour le modèle à créer
1 Améliorer la lisibilité par le contraste coloré
1.1 La cartographie des risques
1.2 La lisibilité
1.3 La lisibilité dans les cartes de risque
2 Couleurs et contrastes : les données de référence à intégrer dans notre modèle
2.1 Proposition d'une palette de couleurs adaptée à la cartographie des risques
2.2 Théorie sur les contrastes de couleur
Volet B Modèle d'amélioration automatique des contrastes de couleur dans les cartes
3 Principes théoriques
3.1 Schéma générique des données
3.2 Méthode de résolution : la convergence
3.3 Modélisation des connaissances sur les couleurs
4 Mise en oeuvre avec ARiCo
4.1 Schéma des données adapté aux risques
4.2 Connaissances intégrées dans Arico
4.3 Tests d'expérimentation
Conclusion généraleNuméro de notice : 13620 Affiliation des auteurs : COGIT (1988-2011) Thématique : GEOMATIQUE Nature : Thèse française Note de thèse : Thèse de doctorat : sciences de l'information géographique : Marne-la-Vallée : 2006 Organisme de stage : COGIT (IGN) nature-HAL : Thèse DOI : sans Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=45221 Exemplaires(3)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 13620-01 K325 Livre LASTIG Dépôt en unité Exclu du prêt 13620b-01 K325 Livre LASTIG Dépôt en unité Exclu du prêt 13620-02 K325 Livre LASTIG Dépôt en unité Exclu du prêt Documents numériques
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chap3et4+conclusion_chesneau - pdf auteurAdobe Acrobat PDF peut être téléchargé
Intro+chap1et2_chesneau - pdf auteurAdobe Acrobat PDF Eléments pour une histoire de la sémiologie graphique avant Jacques Bertin / Gilles Palsky in Bulletin de l'association de géographes français, Géographies, vol 80 n° 2 (juin 2003)
[article]
Titre : Eléments pour une histoire de la sémiologie graphique avant Jacques Bertin Type de document : Article/Communication Auteurs : Gilles Palsky, Auteur Année de publication : 2003 Article en page(s) : pp 183 - 194 Note générale : Bibliographie Langues : Français (fre) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Cartographie ancienne
[Termes IGN] histoire de la cartographie
[Termes IGN] rédaction cartographique
[Termes IGN] sémiologie graphique
[Termes IGN] signe conventionnel
[Termes IGN] vingtième siècleRésumé : (Auteur) L'idée que les cartes et les diagrammes ne sont pas seulement des sources d'information, mais aussi des outils de communication, n'est pas si nouvelle. Dès le XVIIe siècle, certains auteurs géographes souhaitaient des représentations graphiques lisibles et efficaces, et non plus seulement justes et complètes. Bien que dans la Sémiologie graphique (1967), J. Berlin ne se réfère à aucune tradition, il existe bien une réflexion théorique sur l'image antérieure à ce traité majeur. Cet article en souligne quelques moments forts, rappelant les apports de personnalités telles qu'Emmanuel de Martonne ou Maximilian Eckert. Il présente aussi, hors des frontières de la géographie, les premières expérimentations sur la graphique menées par des statisticiens dans la première moitié du XXe siècle. Numéro de notice : A2003-133 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : GEOMATIQUE Nature : Article DOI : 10.3406/bagf.2003.2326 En ligne : https://doi.org/10.3406/bagf.2003.2326 Format de la ressource électronique : URL article Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=22429
in Bulletin de l'association de géographes français, Géographies > vol 80 n° 2 (juin 2003) . - pp 183 - 194[article]Des chiffres et des cartes / Gilles Palsky (1996)PermalinkDes représentations topographiques aux représentations thématiques : recherches historiques sur la communication cartographique / Gilles Palsky in Bulletin de l'association de géographes français, Géographies, n° 505 - 506 (novembre 1984)Permalink