Geomatica / Canadian institute of geomatics = Association canadienne des sciences géomatiques (Canada) . vol 71 n° 4Paru le : 01/12/2017 |
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Ajouter le résultat dans votre panierBuilding extraction from fused LiDAR and hyperspectral data using Random Forest Algorithm / Saeid Parsian in Geomatica, vol 71 n° 4 (December 2017)
[article]
Titre : Building extraction from fused LiDAR and hyperspectral data using Random Forest Algorithm Type de document : Article/Communication Auteurs : Saeid Parsian, Auteur ; Meisam Amani, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp 185 - 193 Note générale : Bibliographie Langues : Anglais (eng) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Applications photogrammétriques
[Termes IGN] analyse discriminante
[Termes IGN] classification par forêts d'arbres décisionnels
[Termes IGN] détection du bâti
[Termes IGN] données lidar
[Termes IGN] données localisées 3D
[Termes IGN] image hyperspectrale
[Termes IGN] morphologie mathématique
[Termes IGN] toitRésumé : (Auteur) Dans le présent article, nous avons utilisé la fusion des données de la détection et de la télémétrie par ondes lumineuses (LiDAR) avec les données hyperspectrales afin de proposer une méthode pour la détection des édifices. Le nombre de bandes hyperspectrales a d’abord été réduit de 144 couches à 8 couches en utilisant l’algorithme d’analyse discriminante linéaire (ADL) pour enlever les bandes hautement redondantes et réduire les coûts de calcul. Puis, ces couches ont été intégrées à quatre couches de hauteurs et d’intensités obtenues des données LiDAR. Les couches fusionnées (12 couches) ont été appliquées à un algorithme de forêts aléatoires (FA) pour extraire les limites des édifices. Finalement, deux opérateurs morphologiques ont été appliqués pour enlever les ouvertures dans les toits des édifices et réparer leurs limites. Une comparaison a également été effectuée entre les résultats obtenus au moyen de la méthode proposée et l’étude de référence dans ce domaine [Debes et al. 2014]. La précision de la méthode proposée s’est avérée meilleure pour la détection des édifices en beaucoup moins de temps comparativement à la méthode de référence. Les valeurs de 97 % et de 96 % ont été obtenues pour la précision du producteur et de l’utilisateur respectivement. Dans l’ensemble, la méthode décrite dans le présent article s’est avérée avoir un potentiel élevé pour l’extraction des édifices. Numéro de notice : A2017-848 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : GEOMATIQUE Nature : Article DOI : 10.5623/cig2017-401 Date de publication en ligne : 27/02/2018 En ligne : https://doi.org/10.5623/cig2017-401 Format de la ressource électronique : URL article Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=89446
in Geomatica > vol 71 n° 4 (December 2017) . - pp 185 - 193[article]Suivi topographique côtier au moyen d’un système LiDAR mobile terrestre : exemple d’une recharge sédimentaire de plage / Stéfanie Van-Wierts in Geomatica, vol 71 n° 4 (December 2017)
[article]
Titre : Suivi topographique côtier au moyen d’un système LiDAR mobile terrestre : exemple d’une recharge sédimentaire de plage Type de document : Article/Communication Auteurs : Stéfanie Van-Wierts, Auteur ; Pascal Bernatchez, Auteur ; Christian Larouche, Auteur Année de publication : 2017 Article en page(s) : pp 194 - 212 Note générale : Bibliographie Langues : Français (fre) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Applications photogrammétriques
[Termes IGN] données lidar
[Termes IGN] données localisées 3D
[Termes IGN] littoral
[Termes IGN] positionnement cinématique en temps réel
[Termes IGN] précision altimétrique
[Termes IGN] sédiment
[Termes IGN] trait de côteRésumé : (Auteur) L’évolution côtière est complexe, notamment par la migration de la ligne de rivage et l’apparition successive de zones d’érosion ou d’accumulation. Les suivis quantitatifs des systèmes côtiers sont largement utilisés afin de comprendre leurs évolutions temporelle et spatiale. Plusieurs méthodes d’acquisition topographiques ont été utilisées (GNSS RTK, LiDAR aéroporté et LiDAR terrestre statique ou mobile) où chaque méthode présente des avantages et des inconvénients lors de suivis d’environnements côtiers. L’objectif de cet article est de quantifier la précision d’un système LiDAR mobile (SLM) terrestre et d’évaluer s’il peut répondre aux principaux défis des levés topographiques en milieu côtier qui consistent à réaliser des levés à une haute résolution temporelle, à moindre coût, tout en assurant une bonne précision altimétrique et une bonne résolution spatiale. Les résultats montrent que la résolution spatiale est centimétrique et que la précision altimétrique est de 0,039 m (RMS calculé sur 124 points de contrôle). La haute précision altimétrique et la haute résolution spatiale permettent de maximiser la précision des calculs de volume sédimentaire et ainsi diminuer les coûts associés à l’erreur de calcul, notamment lors de projets de recharge sédimentaire de plage. Cela permet aussi d’assurer le positionnement exact de limites marégraphiques et géomorphologiques. En comparaison à des profils topographiques obtenus par méthodes classiques, la forte densité des nuages de points observés avec un SLM permet de cartographier des formes morphologiques de faible amplitude diminuant ainsi l’erreur due à l’interpolation. Numéro de notice : A2017-849 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : IMAGERIE Nature : Article DOI : 10.5623/cig2017-402 En ligne : https://doi.org/10.5623/cig2017-402 Format de la ressource électronique : URL article Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=89447
in Geomatica > vol 71 n° 4 (December 2017) . - pp 194 - 212[article]