Revue ouverte d'intelligence artificielle, ROIA . vol 1 n° 1Paru le : 01/07/2020 |
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Ajouter le résultat dans votre panierRencontre entre une philologue et un terminologue au pays des ontologies / Christophe Roche in Revue ouverte d'intelligence artificielle, ROIA, vol 1 n° 1 ([01/07/2020])
[article]
Titre : Rencontre entre une philologue et un terminologue au pays des ontologies Type de document : Article/Communication Auteurs : Christophe Roche, Auteur ; Maria Papadopoulou, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : pp 43 - 70 Note générale : bibliographie Langues : Français (fre) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Intelligence artificielle
[Termes IGN] norme ISO
[Termes IGN] ontologie
[Termes IGN] représentation des connaissances
[Termes IGN] standard
[Termes IGN] terminologieRésumé : (auteur) La classification des objets, le choix des termes et leur définition au regard des connaissances du domaine, sont des préoccupations constantes en Humanités Numériques (HN). Dans ce cadre, et dans le contexte du partage et de l’interopérabilité des données sur le Web, les ontologies au sens de l’Ingénierie des Connaissances (IC) constituent une des avancées les plus intéressantes. Mais les principes sous-jacents à la conceptualisation d’un domaine tels que l’entendent l’IC et les HN ne sont pas nécessairement les mêmes. À cela s’ajoute un problème de Terminologie en tant que discipline souvent sous-estimée aussi bien par les uns que par les autres. Cet article s’intéresse à la façon de procéder des experts dans leur « définition des choses » et dans la manière de les nommer. Cela nous a conduits à définir une méthode outillée de construction de terminologies dont le système conceptuel est une ontologie formelle, dans le respect des normes ISO et des standards du W3C. Cette méthode est illustrée à l’aide du premier dictionnaire ontoterminologique des vêtements de la Grèce antique. Numéro de notice : A2020-882 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : INFORMATIQUE Nature : Article DOI : 10.5802/roia.3 Date de publication en ligne : 10/07/2020 En ligne : https://doi.org/10.5802/roia.3 Format de la ressource électronique : URL article Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=100358
in Revue ouverte d'intelligence artificielle, ROIA > vol 1 n° 1 [01/07/2020] . - pp 43 - 70[article]Modéliser ce qui résiste à la modélisation / Aurélien Bénel in Revue ouverte d'intelligence artificielle, ROIA, vol 1 n° 1 ([01/07/2020])
[article]
Titre : Modéliser ce qui résiste à la modélisation Type de document : Article/Communication Auteurs : Aurélien Bénel, Auteur Année de publication : 2020 Article en page(s) : pp 71 - 88 Note générale : bibliographie Langues : Français (fre) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Intelligence artificielle
[Termes IGN] archéologie
[Termes IGN] artefact
[Termes IGN] modélisation
[Termes IGN] ontologie
[Termes IGN] représentation des connaissances
[Termes IGN] web sémantiqueRésumé : (auteur) Pour traiter de l’intelligence artificielle appliquée aux humanités numériques, cet article prend le pari risqué de concentrer son état de l’art sur les années 1970. Nous découvrons que ces premiers travaux de modélisation des objets archéologiques à l’aide de « langages d’analyse » et de « domaines » n’ont rien à envier aux projets actuels à base de RDF et d’OWL, qu’ils recèlent même souvent une finesse d’analyse digne des projets les plus aboutis. Mais ces travaux sont surtout intéressants par les débats qu’ils firent naître dans la communauté des archéologues, débats d’une profondeur théorique suffisante pour rester, nous semble-t-il, applicables plus de 45 ans après. Parmi les critiques de l’époque, la plus intéressante et la plus constructive est probablement celle de l’archéologue Philippe Bruneau : contrairement aux objets de la Nature, les objets des Sciences humaines, parce qu’ils sont déjà porteurs de sens, doivent être décrits avec des méthodes sémiotiques (plutôt que sémantiques). La prise en compte du contexte ne se traduit alors pas par un vague principe ou par un modèle de plus, mais par un refus systématique des modèles à portée générale. Les modèles doivent tenir compte du fait que seuls un petit nombre des traits pouvant caractériser un objet seront pertinents et ce par différence avec les objets qui sont proches de lui dans son univers technique. Consciemment ou inconsciemment, un certain nombre de travaux d’aujourd’hui en ingénierie des connaissances s’inscrivent au moins partiellement dans ces perspectives. Comme nous l’illustrons avec nos propres logiciels et expérimentations, la prise en compte de cette approche sémiotique trace des perspectives prometteuses pour l’instrumentation de la pratique quotidienne des chercheurs en Sciences humaines ainsi que pour la médiation scientifique. Mais, par un juste retour aux sources de l’intelligence artificielle (à l’époque où sa visée était moins substitutive que compréhensive) l’intérêt de la prise en compte de l’approche sémiotique est peut-être plus grand encore dans la foule de questions de conception qu’elle suscite, questions anecdotiques à première vue, mais liées finalement à ce qu’est le sens et à ses modes de construction. Numéro de notice : A2020-883 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : INFORMATIQUE Nature : Article DOI : 10.5802/roia.4 Date de publication en ligne : 10/07/2020 En ligne : https://doi.org/10.5802/roia.4 Format de la ressource électronique : URL article Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=100359
in Revue ouverte d'intelligence artificielle, ROIA > vol 1 n° 1 [01/07/2020] . - pp 71 - 88[article]