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Stratégies optimales de génie écologique pour la restauration d'écosystèmes dégradés et le contrôle de l'érosion dans les bassins versants torrentiels / F. Rey (2003)

Public contenu dans Evaluation des risques environnementaux pour une gestion durable des espaces / S. Vanpeene-Bruhier (2003) Titre : Stratégies optimales de génie écologique pour la restauration d'écosystèmes dégradés et le contrôle de l'érosion dans les bassins versants torrentiels Type de document : Article/Communication Auteurs : F. Rey, Auteur ; L. Mazoyer, Auteur ; F.X. Nicot, Auteur Editeur : Antony : Centre National du Machinisme agricole, du génie rural, des Eaux & Forêts CEMAGREF (1981-2011) Année de publication : 2003 Conférence : IALE 2003, Journées 2003 de l'Association Internationale pour l'Ecologie du paysage IALE France, Evaluation des risques environnementaux pour une gestion durable des espaces 08/10/2003 10/10/2003 Gap France Importance : pp 51 - 56 Note générale : Bibliographie Langues : Français (fre) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Environnement [Termes IGN] bassin hydrographique [Termes IGN] Durance (rivière) [Termes IGN] écosystème [Termes IGN] érosion [Termes IGN] sédiment Résumé : (Auteur) La maîtrise de l'érosion, pour la prévention et la lutte contre les risques torrentiels et renvasement des retenues hydroélectriques, reste de nos jours une préoccupation importante des aménageurs dans les Alpes françaises, notamment dans le bassin versant de la Durance (Alpes du sud) où les terrains marneux sont abondants. Une solution altemative et durable au curage des retenues est de chercher à retenir les sédiments dans les bassins versants à l'amont de ces retenues, soit en empêchant l'érosion de se produire, soit en installant des pièges à sédiments à l'aval des zones en érosion. L'utilisation des ouvrages de génie biologique et de la végétation pour bloquer les processus érosifs peut se révéler efficace et présente des avantages d'ordre écologique et paysager au génie civil généralement employé. La végétation permet d'empêcher l'érosion de se produire, mais elle permet également de piéger des sédiments érodés grâce à des barrières végétales. Il est donc possible de laisser des zones en érosion dans les bassins versants et de se contenter de piéger et retenir durablement ces sédiments à l'aval. Ainsi, il n'est pas nécessaire crintervenir sur la totalité d'un bassin versant en revégétalisation ou en gestion forestière pour garantir une production sédimentaire faible à l'exutoire de ce bassin. Ce mode d'action particulier de la végétation peut alors être utilisé pour proposer des stratégies optimales et durables pour la maîtrise de l'érosion et de la production sédimentaire des bassins versants hydrologiques. Des outils sont mis au point (typologie de ravines, méthode de cartographie de zones d'interventions forestières prioritaires ... ) pour déterminer les priorités d'action et les modalités d'intervention sur les écosystèmes soumis au risque d'érosion. Numéro de notice : C2003-007 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : FORET Nature : Communication Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=64986