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Les indicateurs de biodiversité et d'état de conservation [diaporama] / Institut national de l'information géographique et forestière (2012 -) (2018)RENECOFOR. Effets de l'ozone sur la végétation, concentrations d'ozone (2000-2002) et symptômes d'ozone sur la végétation forestière (2001-2003) / Réseau national de suivi à long terme des écosystèmes forestiers (2006)
Titre de série : RENECOFOR Titre : Effets de l'ozone sur la végétation, concentrations d'ozone (2000-2002) et symptômes d'ozone sur la végétation forestière (2001-2003) Type de document : Rapport Auteurs : Réseau national de suivi à long terme des écosystèmes forestiers, Auteur ; Erwin Ulrich, Auteur ; Laurence Dalstein, Auteur ; Madeleine S. Günthardt-Goerg, Auteur ; et al., Auteur Editeur : Fontainebleau [France] : Office national des forêts ONF Année de publication : 2006 Importance : 128 p. Format : 30 cm ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84207-300-8 Note générale : bibliographie. Glossaire. Résumé en français, anglais et allemand Langues : Français (fre) Descripteur : [Termes IGN] effet de l'ozone sur les plantes
[Termes IGN] France (administrative)
[Termes IGN] santé des forêtsIndex. décimale : 423.5 Santé des forêts [dépérissement, incendies, dégâts dus aux ravageurs ou aux aléas naturels, changement climatique, etc.] Résumé : (auteur) Objectifs : Jusqu’en 1999, la France ne comptait aucun dispositif de surveillance de l’ozone en site forestier. Dans le cadre du règlement européen n°3528/86, ce projet a permis de tester et d’approfondir les méthodes proposées par le PIC « Forêt » (Convention de Genève sur la pollution trans-frontière à longue distance) sur une sélection de sites du réseau RENECOFOR. Ce type de mesure a été inclus dans le fonctionnement normal du réseau.Les travaux ont concerné : (i) des mesures de concentrations moyennes d’ozone dans des clairières à l’intérieur des massifs forestiers à l’aide de capteurs passifs, (ii) des observations de symptômes d’ozone ou de symptômes semblables à l’ozone en forêt sur les arbres dominants et la végétation herbacée, (iii) des observations comme dans (ii), mais dans une clairière bien exposée au soleil et (iv) des contrôles microscopiques pour confirmer ou infirmer les observations du terrain.
Résultats : Concentrations d’ozone. Dans la plupart des cas, les capteurs d’IVL?, analysés en Suède, montrent une erreur de mesure de 5 % dans une gamme de concentration d’ozone comprise entre 30 et 90 µg/m3. Au cours de l’année 2000 et 2001, ces mesures ont été réalisées sur vingt-six sites forestiers et sur vingt sept sites en 2002. Des mesures de répétabilité ont été effectuées sur deux sites, caractérisés par une météorologie et un niveau d’ozone très différents : les données ont montré une meilleure cohérence de la répétabilité des résultats sur le site à faible pluviosité par rapport au site plus humide. Le constructeur des capteurs passifs préconise de ne pas exposer les capteurs lorsque le temps est très humide. C’est un critère difficile à respecter en milieu forestier. La concentration moyenne d’ozone est de 66 µg/m3 sur trois ans sur les vingt-six sites. Les moyennes annuelles, comprises entre 64 et 67 µg/m3 ne sont que légèrement différentes de la moyenne sur trois ans. L’essentiel des concentrations bimensuelles se situe entre 32 et 100 µg/m3. C’est en montagne que sont enregistrées la majeure partie des valeurs minimales les plus fortes et la totalité des valeurs maximales les plus élevées. Les valeurs moyennes les plus faibles (jusqu’à 65 µg/m3) sont relevées en plaine. Il existe un gradient altitudinal des concentrations d’ozone qui montre une dispersion plus large à basse altitude. Celle-ci peut s’expliquer par des conditions plus fluctuantes d’émission de précurseurs d’ozone à basse altitude en raison de la plus forte variabilité de densité de population. Les 6 sites de montagne (EPC 74, HET 30, PL20, SP 11, SP 25, SP 38) sont caractérisés par des concentrations comprises entre 75 et 89 µg/m3. L’examen de l’amplitude (différence entre minimum et maximum) ne fait pas apparaître d’écart entre régions, l’amplitude est donc propre aux conditions environnementales de chaque site : origine des masses d’air, sources d’émissions, météorologie, etc. Pour chaque site et durant la période de végétation, le niveau d’ozone est assez homogène entre les années. Une diminution de la concentration du début de la période de végétation (mi-avril) vers la fin (mi-octobre) s’observe régulièrement. Ceci s’explique par la diminution de la température et de l’énergie solaire à partir de début septembre. [...]Numéro de notice : IFN_1729 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : FORET Nature : Rapport de recherche Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=66606 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité IFN-001-001178 423.5 RES Livre Nogent-sur-Vernisson Bibliothèque Nogent IFN Exclu du prêt Documents numériques
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Effets de l'ozone sur la végétation ... - pdf éditeurAdobe Acrobat PDF RENECOFOR. Suivi de la composition floristique des placettes du réseau (1994/1995-2000) et élaboration d'un programme d'assurance qualité intensif / Sylvaine Camaret (2004)
Titre de série : RENECOFOR Titre : Suivi de la composition floristique des placettes du réseau (1994/1995-2000) et élaboration d'un programme d'assurance qualité intensif Type de document : Rapport Auteurs : Sylvaine Camaret, Éditeur scientifique ; Laurence Bourjot, Éditeur scientifique ; Jean-François Dobremez, Éditeur scientifique ; Réseau national de suivi à long terme des écosystèmes forestiers, Auteur Editeur : Fontainebleau [France] : Office national des forêts ONF Année de publication : 2004 Importance : 86 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84207-290-2 Langues : Français (fre) Descripteur : [Termes IGN] analyse diachronique
[Termes IGN] composition floristique
[Termes IGN] identification de plantes
[Termes IGN] inventaire de la végétation
[Termes IGN] placette d'échantillonnage
[Termes IGN] richesse floristique
[Vedettes matières IGN] BotaniqueIndex. décimale : 423.1 Botanique Résumé : (auteur) La deuxième campagne d'expertise floristique des 101 placettes du réseau forestier français s'est déroulée en 2000. Dix équipes ont participé aux relevés de végétation. L'analyse et le traitement des données ont été réalisés pour l'essentiel par l'équipe de l'Université de Savoie au Bourget-du-Lac. Par rapport à la première campagne de 1994-95, l'événement essentiel est la tempête de décembre 1999 qui a touché près de la moitié des parcelles du réseau. Dix-sept parcelles ont été endommagées à plus de 30 % dont 13 à plus de 70 %. En conséquence, seules 88 parcelles ont fait l'objet d'un inventaire floristique. L'une d'entre elles (PM 40b) n'a pas été prise en compte dans la plupart des traitements de données en raison d'une réorganisation des sous-placettes. En outre, depuis l'installation du dispositif, 116 coupes ont été effectuées dans les parcelles et, au cours des 5 dernières années, 53 chablis au total ont affecté les peuplements observés.
Les méthodes d'évaluation de la végétation sont les mêmes que lors de la première campagne, mais seuls deux relevés ont été faits, l'un au printemps, l'autre en été. En effet, un suivi pluriannuel de quelques placettes a démontré que deux relevés au cours de la saison de végétation suffisent à déceler la plupart des espèces. En 1995, les relevés de "contrôle" avaient montré une assez forte variabilité des observations réalisées sur une même parcelle par des équipes différentes. Au cours de la campagne 2000, 10 parcelles ont été observées par deux équipes. Pour améliorer encore la qualité des observations, des journées d'intercalibration ont été organisées à deux reprises. L'amélioration de la qualité est nette à l'issue de ces exercices. Dans l'intervalle des deux campagnes, 14 placettes réparties dans les trois grandes régions biogéographiques (atlantique, subcontinentale, montagnarde) ont été suivies chaque année de façon à évaluer la variabilité inter-annuelle éventuelle de la végétation herbacée. Le résultat principal est que la pression d'observation permet de découvrir chaque année de nouvelles espèces. En outre, certaines espèces ne sont pas revues d'une année à l'autre, soit qu'elles aient vraiment disparu, soit que leur développement ne permette pas de les reconnaître. Ces variations semblent dues essentiellement aux conditions météorologiques particulières de l'année.
Après 5 années, l'effet de la mise en défens de la partie centrale des placettes est parfois bien net. Les ronces
(Rubus) sont le marqueur le plus visible de l'effet des non-prélèvements par les animaux sauvages. La richesse floristique totale, a un peu augmenté : pour les arbres, on passe de 38 à 39 espèces ; pour les arbustes hauts de 62 à 67 ; pour les arbustes bas de 122 à 126 ; pour les herbacées de 600 à 636 et pour les mousses de 89 à 109. Si l'on considère l'ensemble des espèces, plantes vasculaires et mousses + lichens terricoles et humicoles, 92 espèces n'ont été observées qu'en 1994-95, 619 ont été vues lors des deux campagnes et 147 sont nouvelles en 2000. La richesse floristique moyenne des parcelles s'élève à 66,3 espèces (3,4 arbres, 4,2 arbustes hauts, 10,7 arbustes bas, 38,4 herbacées et 9,6 mousses). La plus pauvre des parcelles ne compte que 9 espèces et la plus riche atteint 134 espèces. La modification de la composition floristique entre les deux campagnes concerne 34 à 46% des parcelles, selon le paramètre étudié. Elle est due à l'effet enclos plus qu'à l'effet année, avec un effet enclos dans 62 % des placettes (pour au moins une espèce végétale et/ou une valeur d'Ellenberg et/ou la richesse et/ou la diversité spécifique) (56 de 89 placettes). Les indices d'Ellenberg sont restés stables. Les 10 à 28% de modifications concernent surtout l'indice lumière. Le recouvrement de la végétation est resté, lui aussi, stable, sauf pour les ronces. Le changement dans la présence et dans le recouvrement de Rubus est le fait le plus marquant et explique d'ailleurs presque toutes les modifications (effet enclos, recouvrement). L'effet des ongulés sauvages est la première des modifications perceptibles dans les parcelles du réseau.Numéro de notice : IFN_1540 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : FORET Nature : Rapport DOI : sans Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=66510 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité IFN-001-001182 423.1 CAM Livre Nogent-sur-Vernisson Bibliothèque Nogent IFN Exclu du prêt Documents numériques
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Suivi de la composition floristique des placettes du réseau ... - pdf éditeurAdobe Acrobat PDF