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L'Atelier botanique des Barres : une expérience d'herborisation participative dans l'est du département du Loiret / Richard Chevalier in Symbioses, bulletin des muséums d'histoire naturelle de la région Centre, n° 35 - 36 ([01/09/2018])

Public [article]  inSymbioses, bulletin des muséums d'histoire naturelle de la région Centre > n° 35 - 36 [01/09/2018] . - pp Titre : L'Atelier botanique des Barres : une expérience d'herborisation participative dans l'est du département du Loiret Type de document : Article/Communication Auteurs : Richard Chevalier, Auteur ; Marine Dalmasso , Auteur ; Gérard Dumé, Auteur ; L. Léquivard, Auteur ; Hilaire Martin, Auteur ; N. Perrette, Auteur ; J.C. Tandy, Auteur ; Anne Villemey, Auteur Année de publication : 2018 Article en page(s) : pp Langues : Français (fre) Descripteur : [Termes IGN] formation continue [Termes IGN] identification de plantes [Termes IGN] Loiret (45) [Vedettes matières IGN] Botanique Résumé : (auteur) Depuis 2008, chaque lundi, de 12 h à 14 h, les personnels du domaine des Barres (Irstea, IGN, Legta, ONF-Arboretum) se retrouvent pour participer à l'Atelier botanique des Barres (ABB). Prévu pour s'initier et se perfectionner à l'identification de la flore, ce rendez-vous hebdomadaire relève à la fois de la découverte de la nature, de la formation continue, des sciences participatives et de l'entretien des bonnes relations entre organismes d'un même campus. Botanistes professionnels ou d'un jour, chefs ou simples opérateurs, permanents ou temporaires, tout le monde se retrouve sous le soleil ou la pluie mais toujours dans la bonne humeur pour aller herboriser sur les communes environnantes. Au bout de huit années de fonctionnement, à raison de six ou sept en moyenne par séance, ce sont 160 personnes qui ont participé à l'ABB, prospecté 94 communes, identifié 1 085 espèces et transmis 30 700 données pour alimenter la base de données Flora du Conservatoire botanique national du Bassin parisien. Cependant, l'ABB a aujourd'hui besoin d'être redynamisé pour perdurer. Numéro de notice : A2018-679 Affiliation des auteurs : IGN+Ext (2012-2019) Thématique : FORET Nature : Article nature-HAL : ArtSansCL DOI : sans Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=96411 [article]

Le concept de forêt ancienne s’applique-t-il aux peupleraies cultivées ? Test de pertinence avec la flore des vallées de Champagne / Richard Chevalier in Revue forestière française, vol 65 n° 4 (juillet - août 2013)  

Public [article]  inRevue forestière française > vol 65 n° 4 (juillet - août 2013) . - pp 375 - 388 Titre : Le concept de forêt ancienne s’applique-t-il aux peupleraies cultivées ? Test de pertinence avec la flore des vallées de Champagne Type de document : Article/Communication Auteurs : Richard Chevalier, Auteur ; Frédéric Archaux, Auteur ; Alain Berthelot, Auteur ; Laurence Carnnot-Milard, Auteur ; Marianne Duprez , Auteur ; Sylvain Gaudin, Auteur ; Anne Villemey, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : pp 375 - 388 Langues : Français (fre) Descripteur : [Termes IGN] Champagne (région naturelle) [Termes IGN] forêt ancienne [Termes IGN] peupleraie [Vedettes matières IGN] Ecologie forestière Résumé : (auteur) Cet article tente de vérifier si le concept de forêt ancienne s’applique à des peupleraies plantées à la place de forêts anciennes. Pour cela, 107 relevés phytoécologiques réalisés dans les peupleraies cultivées et les forêts subnaturelles des grandes vallées de Champagne ont été utilisés, ainsi que : -leur historique, reconstitué avec la carte d’État-major de 1830-40 au 1/40 000e et plusieurs séries de photos aériennes du début des années 1950 à nos jours, -les listes d’espèces de la flore indicatrice des forêts anciennes établies par Hermy et al. (1999) et Dupouey et al. (2002) Les peupleraies classiques à antécédent forestier et non forestier ne se différencient pas par leur richesse en espèces de forêts anciennes, alors qu’avec la même méthodologie, les forêts anciennes et récentes présentent une différence hautement significative. Les peupleraies étudiées ne peuvent donc pas être considérées comme des forêts anciennes. Forts de ces résultats, nous pouvons penser que, dans un cadre plus général, les reboisements effectués avec des préparations assez lourdes sont en mesure d’altérer plus ou moins fortement l’état de forêt ancienne révélé par la flore indicatrice. Il est donc nécessaire, au-delà de la peupleraie, d’étudier l’effet des techniques de reboisement sur la flore des forêts anciennes. En attendant de tels résultats, il conviendrait de ne pas reboiser par plantation les forêts anciennes subnaturelles, ou alors avec les techniques les moins perturbantes possibles pour l’écosystème forestier. Numéro de notice : A2013-848 Affiliation des auteurs : IGN+Ext (1940-2011) Thématique : FORET Nature : Article nature-HAL : ArtAvecCL-RevueNat DOI : 10.4267/2042/53632 Date de publication en ligne : 10/04/2014 En ligne : https://doi.org/10.4267/2042/53632 Format de la ressource électronique : URL article Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=96430 [article]

Exemplaires(1)

Code-barres	Cote	Support	Localisation	Section	Disponibilité
IFN-001-P001563	PER	Revue	Nogent-sur-Vernisson	Salle périodiques	Disponible