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Auteur S. Lannuzel |
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Zéro hydrographique vers une détermination globale / Guy Wöppelmann in XYZ, n° 79 (juin - août 1999)
[article]
Titre : Zéro hydrographique vers une détermination globale Type de document : Article/Communication Auteurs : Guy Wöppelmann , Auteur ; S. Allain, Auteur ; P. Bahurel, Auteur ; S. Lannuzel, Auteur ; Bernard Simon, Auteur Année de publication : 1999 Article en page(s) : pp 27 - 33 Note générale : Bibliographie Langues : Français (fre) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Bathymétrie
[Termes IGN] altimétrie
[Termes IGN] bathymétrie
[Termes IGN] hydrographie
[Termes IGN] marégraphie
[Termes IGN] niveau de la mer
[Termes IGN] positionnement par GPS
[Termes IGN] zéro hydrographiqueRésumé : (Auteur) Nous présentons dans cet article une référence verticale souvent peu connue des utilisateurs non avertis et familiers avec l'Hydrographie : il s'agit du niveau de référence des cartes marines ou Zéro Hydrographique. C'est en quelque sorte, l'équivalent en mer de la surface de référence des altitudes à terre portées sur les cartes de l'IGN ; tous les relevés bathymétriques y sont rapportés. Le Zéro Hydrographique ou zéro des cartes Marines est le niveau de référence à partir duquel sont comptées, positivement vers le Nadir, les sondes portées sur les cartes marines et, positivement vers le zénith, les hauteurs de marée. Il est choisi en France comme LE NIVEAU DES PLUS BASSES MERS ASTRONOMIQUES. Il s'agit d'un niveau théorique sous lequel le niveau de la mer ne descend que très exceptionnellement. Le choix d'un zéro hydrographique au voisinage des plus basses mers est arbitraire, mais commode, car le marin est toujours assuré de disposer d'au moins autant d'eau que ce qui est indiqué sur la carte. Ce choix est adopté depuis peu par les pays membres de l'Organisation Hydrographique Internationale (OHI), excepté le Japon, mais sa traduction dans les faits risque de prendre du temps, car de très nombreuses cartes sont à refaire. Il pose en outre un certain nombre de problèmes de réalisation pratique et d'accès essentiellement d'ordre technologique. Aussi le SHOM entreprend un examen critique du Zéro Hydrographique, et notamment des méthodes employées pour le déterminer. Ce travail s'effectue dans un contexte favorable, à la lumière des possibilités offertes par les techniques spatiales d'altimétrie radar (TOPEX/POSEIDON...) et de positionnement (GPS...). L'article présente les motivations du sujet d'étude et passe en revue les techniques et les données qui sont susceptibles de contribuer à résoudre le problème. Numéro de notice : A1999-009 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : POSITIONNEMENT Nature : Article DOI : sans Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=26215
in XYZ > n° 79 (juin - août 1999) . - pp 27 - 33[article]Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 112-99021 RAB Revue Centre de documentation En réserve L003 Disponible
Titre : Réseau géodésique de Polynésie française : synthèse des campagnes DORIS, détermination des décalages avec les systèmes géodésiques locaux Type de document : Rapport Auteurs : S. Lannuzel, Auteur Editeur : Brest : Service Hydrographique et Océanographique de la Marine SHOM Année de publication : 1999 Collection : Rapport d'Etude num. 99-2 Importance : 73 p. Format : 21 x 30 cm Note générale : Bibliographie Langues : Français (fre) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Systèmes de référence et réseaux
[Termes IGN] Australes (îles)
[Termes IGN] campagne DORIS
[Termes IGN] International Terrestrial Reference Frame
[Termes IGN] Marquises, îles
[Termes IGN] Polynésie française
[Termes IGN] réseau géodésique local
[Termes IGN] Société, archipel de la (Polynésie française)
[Termes IGN] système de référence local
[Termes IGN] Tuamotu, îlesIndex. décimale : 30.10 Systèmes de référence et réseaux géodésiques Résumé : (Auteur) Le Service Hydrographique et Océanographique de la Marine (SHOM) a mis en place un système géodésique actualisé en Polynésie française - le réseau géodésique de Polynésie française (RGPF). Ce système géodésique est basé sur l'ITRF92 (1993.0), référentiel terrestre géré par l'IERS. La matérialisation de ce réseau a été menée en deux étapes distinctes. La première a consisté à construire un réseau de référence constitué de treize stations réparties sur le territoire et dont les positions ont été déterminées à l'aide de la technique spatiale DORIS. Cette étape s'est déroulée en collaboration avec l'Institut Géographique National (IGN) qui dispose d'une compétence théorique et pratique du système DORIS. La deuxième phase de cette matérialisation est toujours en cours. Elle est réalisée progressivement par la mission océanographique du Pacifique, entité du SHOM installée à Tahiti. L'objectif est de déterminer au moins un point durable sur chaque groupe d'atolls proches afin de matérialiser le RGPF et de déterminer les décalages entre les systèmes géodésiques locaux et le RGPF. Ceci permettra au SHOM de réaliser ses travaux hydrographiques futurs dans un système mondial et de rattacher à ce système les levés hydrographiques anciens dont les positions, avant les années 90, étaient exprimées dans un système géodésique local. Note de contenu : Introduction
La campagne DORIS en Polynésie française
Le RGPF
La densification du RGPF
Décalages entre systèmes géodésiques
Annexes A à HNuméro de notice : 69549 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : POSITIONNEMENT Nature : Rapport En ligne : http://www.shom.fr/les-activites/activites-scientifiques/reseau-geodesique-de-po [...] Format de la ressource électronique : URL Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=44825 Exemplaires(1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 69549-01 30.10 Livre Centre de documentation Géodésie Disponible