Détail de l'auteur
Auteur Yann Dumas
Commentaire :
Cemagref, équipe "Biodiversité et gestion forestière" - Domaine des Barres - 45290 Nogent-sur-Vernisson (en 2008)
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Une strate herbacée monopoliste : quelle concurrence vis-à-vis de l’eau pour le peuplement adulte ? / Rémy Gobin in Rendez-vous techniques, n° 48-49 (été automne 2015)
[article]
Titre : Une strate herbacée monopoliste : quelle concurrence vis-à-vis de l’eau pour le peuplement adulte ? Type de document : Article/Communication Auteurs : Rémy Gobin, Auteur ; Philippe Balandier, Auteur ; Nathalie Korboulewsky, Auteur ; Yann Dumas, Auteur ; Vincent Seigner, Auteur ; Claudine Richter, Auteur Année de publication : 2016 Article en page(s) : pp 17 - 22 Note générale : bibliographie Langues : Français (fre) Descripteur : [Termes IGN] peuplement forestier
[Termes IGN] plante herbacée
[Termes IGN] sous-bois
[Termes IGN] stress hydrique
[Vedettes matières IGN] Végétation et changement climatiqueRésumé : (auteur) L’adaptation des forêts aux changements climatiques est un enjeu crucial pour l’avenir. Sachant que, dans bien des cas, il faudra faire face à un problème de disponibilité en eau, une des stratégies consisterait à diminuer la densité des peuplements forestiers pour limiter le stress hydrique. Mais si, profitant de la réduction du couvert arboré, la strate herbacée explosait et exacerbait la concurrence ? Où placer le curseur ? Deux expérimentations d’Irstea donnent quelques indications pour les espèces du sous-bois dites monopolistes. Numéro de notice : A2015--008 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : FORET Nature : Article DOI : sans Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=80582
in Rendez-vous techniques > n° 48-49 (été automne 2015) . - pp 17 - 22[article]Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité IFN-001-P001791 PER Revue Nogent-sur-Vernisson Salle périodiques Exclu du prêt Documents numériques
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Une strate herbacée monopolisteAdobe Acrobat PDF Transpiration of four common understorey plant species according to drought intensity in temperate forests / Rémy Gobin in Annals of Forest Science, vol 72 n° 8 (December 2015)
[article]
Titre : Transpiration of four common understorey plant species according to drought intensity in temperate forests Type de document : Article/Communication Auteurs : Rémy Gobin, Auteur ; Nathalie Korboulewsky, Auteur ; Yann Dumas, Auteur ; Philippe Balandier, Auteur Année de publication : 2015 Article en page(s) : pp 1053 - 1064 Note générale : bibliographie Langues : Anglais (eng) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Végétation
[Termes IGN] évapotranspiration
[Termes IGN] forêt tempérée
[Termes IGN] ressources en eau
[Termes IGN] sous-étage
[Termes IGN] stress hydriqueRésumé : (auteur) Key message: Water use patterns of understorey vegetation are species-dependent. Calluna vulgaris showed little or no regulation of transpiration in response to soil water depletion or air vapour pressure deficit, unlike Pteridium aquilinum, Rubus sp. and Molinia caerulea.
Context Evapotranspiration at forest stand scale is the sum of three components: overstorey and understorey transpiration, and evaporation from soil. During periods of soil water shortage, evapotranspiration of trees declines significantly, but the response of understorey vegetation is less well known. Some reports suggest that understorey vegetation can sometimes be the main source of water depletion in a forest stand during drought episodes.
Aims: We assessed transpiration in response to decreased soil water content (SWC) and increased vapour pressure deficit (VPD) in the atmosphere for four understorey species with contrasting patterns of resource capture.
Methods: Potted plants of Pteridium aquilinum, Molinia caerulea, Calluna vulgaris and Rubus sect. Fruticosi were grown under two radiation levels combined with three levels of SWC. Temperature, radiation, VPD and transpiration were monitored.
Results: Calluna vulgaris displayed a water spender behaviour with little or no regulation of transpiration during soil water depletion and increased VPD, whereas Pteridium aquilinum showed a low transpiration rate whatever the conditions. Rubus sect. Fruticosi gradually decreased transpiration during soil water depletion and increased VPD, whereas Molinia caerulea responded strongly to soil water depletion but only moderately to VPD.
Conclusion: This study highlights the importance of adding identity and water use strategy of understorey species to the tree canopy component to establish a reliable forest water balance.Numéro de notice : A2015-897 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : FORET Nature : Article DOI : 10.1007/s13595-015-0510-9 Date de publication en ligne : 14/09/2015 En ligne : https://doi.org/10.1007/s13595-015-0510-9 Format de la ressource électronique : URL article Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=79454
in Annals of Forest Science > vol 72 n° 8 (December 2015) . - pp 1053 - 1064[article]RENECOFOR. Dix ans de suivi de la végétation forestière : aspects méthodologiques et évolution temporelle de la flore (1994/1995-2005) / Frédéric Archaux (2009)
Titre de série : RENECOFOR Titre : Dix ans de suivi de la végétation forestière : aspects méthodologiques et évolution temporelle de la flore (1994/1995-2005) Type de document : Monographie Auteurs : Frédéric Archaux, Auteur ; Vincent Boulanger, Auteur ; Sylvaine Camaret, Auteur ; Emmanuel Corcket, Auteur ; Jean-Luc Dupouey, Auteur ; F. Forgeard, Auteur ; Patricia Heuzé, Auteur ; M. Lebret-Gallet, Auteur ; Anders Mårell, Auteur ; K. Payet, Auteur ; Erwin Ulrich, Auteur ; P. Behr, Auteur ; Laurence Bourjot, Auteur ; Alain Brêthes, Auteur ; Richard Chevalier, Auteur ; Jean-François Dobremez, Auteur ; Yann Dumas, Auteur ; Gérard Dumé, Auteur ; et al., Auteur Editeur : Paris [France] : Office national des forêts ONF Année de publication : 2009 Importance : 456 p. ISBN/ISSN/EAN : 978-2-84207-339-8 Langues : Français (fre) Descripteur : [Termes IGN] analyse spatio-temporelle
[Termes IGN] données météorologiques
[Termes IGN] dynamique de la végétation
[Termes IGN] échantillonnage
[Termes IGN] identification de plantes
[Termes IGN] placette d'échantillonnage
[Termes IGN] richesse floristique
[Termes IGN] source d'erreur
[Termes IGN] surveillance forestière
[Vedettes matières IGN] Inventaire forestierRésumé : (auteur) Le réseau RENECOFOR est à ce jour le seul exemple français de suivi floristique de 102 sites permanents à l'échelle de la diversité des ses forêts de production. Les deux premières campagnes ont eu lieu en 1995 et en 2000 et ont donné lieu à deux publications (Dobremez et al. 1997, Camaret et al. 2004). Par ailleurs, 12 des 102 placettes du réseau font l'objet d'un suivi annuel depuis la mise en place du réseau (réseau Oxalis). Ce rapport présente la synthèse des analyses réalisées sur les trois premières campagnes, en intégrant la campagne d'observation réalisée en 2005. Après une brève présentation (1) des placettes floristiques, (2) des protocoles d'échantillonnage et d'assurance-contrôle qualité (exercices d'intercalibration, visites de contrôle) et (3) de la base de saisie Renecoflore, sont exposés les choix opérés sur les données d'origine pour les analyses. La seconde partie du rapport traite des sources de variabilité des observations (effet opérateur, saisonnalité et fluctuations interannuelles des cortèges floristique). Le rapport expose alors les évolutions temporelles des peuplements, des retombées atmosphériques et des conditions climatiques observées dans les placettes du réseau. La fin du rapport cherche ensuite à expliquer les évolutions des cortèges floristiques en lien avec ces évolutions de l'environnement. Nous nous sommes focalisés successivement sur (1) l'évolution de la flore dans les sous-placettes non encloses en lien avec les évolutions des peuplements (tempêtes, coupes) et des retombées atmosphériques, (2) la comparaison entre sous-placettes encloses et non encloses en lien avec la pression d'herbivorie et (3) les fluctuations annuelles de la flore au sein du sous-réseau Oxalis en lien avec le climat. Les exercices d'intercalibration et les visites de contrôle ont mis en évidence que près d'une espèce sur cinq est ratée lors d'une visite (résultat également confirmé par la comparaison des relevés printaniers et estivaux). Ces valeurs élevées correspondent toutefois aux taux moyens rapportés dans la littérature. En comparaison, les erreurs de détermination et les déterminations au genre seulement sont nettement moins fréquentes que les cas de non-détection. Ces analyses indiquent également qu'il faut privilégier les équipes d'au moins deux personnes, les botanistes expérimentés avec une connaissance fine de la flore locale et limiter le nombre de relevés quotidiens. Enfin, des différences significatives du niveau d'exhaustivité des relevés existent entre équipes, lesquelles rendent nécessaires la prise en compte d'un effet opérateur lors des analyses des données RENECOFOR. La comparaison des relevés de printemps et d'été montre qu'un nombre non négligeable de taxons est rencontré plus fréquemment à l'une ou l'autre saison, même si l'utilité de deux visites repose moins sur la saisonnalité des cortèges floristiques que sur le fait que le temps de recherche des espèces est doublé. En moyenne, les visites de printemps et d'été permettent aux équipes de détecter entre 90 et 95% des espèces présentes. Parmi les douze placettes Oxalis, seulement 25 % à 50 % des espèces sont observées tous les ans : quatre à cinq années de relevés permettent en général de recenser au moins 85 % des espèces, ce qui signifie qu'un nombre relativement limité d'espèces sont véritablement fugaces. En extrapolant des placettes Oxalis à l'ensemble du dispositif, ces analyses montrent qu'entre 13 et 28 % des espèces présentes sur les placettes RENECOFOR entre 1995 et 2005 n'ont pas été détectées à l'issue des trois passages quinquennaux. Ce n'est certainement pas un hasard si ces chiffres sont cohérents avec l'effet opérateur mis en évidence dans les relevés de contrôle et les exercices d'intercalibration (même si une partie des espèces ratées correspond certainement à des espèces éphémères). Ces analyses montrent également que la stratégie dont la performance se rapproche le plus d'un échantillonnage tous les ans consiste à effectuer les relevés deux années successives sur un cycle de 4 ans. La future stratégie d'échantillonnage de la flore au sein des placettes RENECOFOR repose sur des relevés tous les dix ans (fréquence décennale), à l'exception d'un sous-réseau de placettes (CATAENAT) où la fréquence demeurera quinquennale. Un compromis au surcoût acceptable serait de prévoir des relevés floristiques deux années de suite tous les 4 ans sur les placettes CATAENAT. Un tel dispositif permettrait notamment d'estimer la variabilité interannuelle (et ses évolutions au cours du temps) et la variabilité à plus long terme. L'historique des coupes et des chablis n'est pas parfaitement connu pour l'ensemble des placettes. Néanmoins, treize placettes n'ont vraisemblablement jamais fait l'objet de coupes depuis 1991/1992 (mais huit d'entre elles ont été touchées par les tempêtes de 1999), 67 placettes ont connu une coupe, 21 deux coupes et une trois coupes. Les tempêtes de 1999 ont touché 53 placettes dont 32 placettes plus lourdement touchées (au moins 5% des arbres touchés). Les tempêtes ont évidemment entraîné des modifications dendrométriques des peuplements. Le suivi des dépôts atmosphériques sous couvert depuis 1993 dans 26 placettes du sous-réseau CATAENAT) montre qu'une légère baisse des dépôts azotés et une baisse plus nette des dépôts de sulfates. L'étude de l'évolution des températures de 1995 à 2005 indique (1) très clairement des fluctuations synchrones entre les placettes, pour les quatre saisons, (2) une tendance à des étés plus chauds et des automnes régulièrement plus chauds à partir de 1998, (3) plusieurs épisodes climatiques exceptionnels (fortes températures automnales de 1997, canicule de l'été 2003) et (4) que les années 1995, 2000 et 2005 sont globalement dans la normale. Le synchronisme entre placettes est nettement moins marqué pour les précipitations. Même si les évolutions de la structure des communautés végétales semblent peu marquées à l'échelle du réseau entre 1995 et 2005, des changements floristiques sensibles sont visibles à une échelle plus fine. L'amplitude de déplacement est toujours relativement faible, ce qui suggère (1) une forte inertie des écosystèmes forestiers et (2) une grande différence d'échelle entre les variations floristiques observées à l'intérieur du type de placettes et la diversité floristique existant ente ces différents types. La forte dépendance de ces variations de structure des communautés aux types de placettes RENECOFOR considérés suggère un déterminisme environnemental complexe qui reste à rechercher. Les analyses menées à différents niveaux (indices synthétiques via la richesse spécifique et les indices d'Ellenberg ; assemblages via l'AFC ; espèces communes) ne montrent pas d'évolution directionnelle très marquée de la flore. Au contraire, les changements sont subtils, et reflètent en premier lieu l'évolution des peuplements sous l'influence des tempêtes et du sylviculteur et dans un second temps des dépôts atmosphériques. L'étude des caractéristiques écologiques de la flore mesurées par les indices d'Ellenberg montre (1) clairement une distinction entre placettes touchées et épargnées par les tempêtes de 1999 et (2) un effet limité des retombées atmosphériques (qui porte uniquement sur l'évolution du caractère nitrophile de la flore entre 1995 et 2000; aucun n'apparaît entre le caractère acidiphile de la flore et les dépôts de sulfate). De façon plus générale, les analyses mettent en avant l'importance pour la végétation herbacée de la compétition avec les étages supérieurs. Après dix années de mise en défens de la végétation, il ressort des comparaisons des relevés floristiques entre enclos et exclos que (1) la richesse et la diversité spécifique de la strate herbacée sont moins élevées dans l'enclos - et inversement pour les strates arbustives- et (2) la flore est moins héliophile et nitrophile dans l'enclos : ces observations sont cohérentes avec une régulation des communautés herbacées par les strates arbustives via leur interception de la lumière. D'autre part, cet effet positif des grands herbivores sur la diversité de la flore herbacée est d'autant plus marqué que la pression d'herbivorie était élevée lors de l'installation du dispositif. Les données Oxalis montrent que la richesse spécifique évolue de façon synchrone entre les huit sous-placettes de chaque placette et entre placettes proches géographiquement. Les fluctuations de la richesse sont en bonne partie expliquées par les variations interannuelles des précipitations et des températures. Par ailleurs, la flore en montagne réagit fréquemment de manière opposée à celle de plaine aux mêmes conditions climatiques. Si la flore réagit effectivement rapidement aux conditions climatiques, elle n'a pas connu d'évolution directionnelle évidente sur la période considérée (conformément à ce qui est observé à l'échelle du réseau entier) et plus encore, elle a particulièrement bien résisté à la sécheresse/canicule 2003. Plusieurs perspectives sont enfin proposées, en particulier (1) l'exploration plus fine du rôle du climat sur les évolutions de la flore forestière, (2) une quantification plus fine du niveau des populations des grands herbivores à proximité des placettes et l'évolution de ces populations entre 1995 et 2005 pour mieux préciser la pression d'herbivorie et (3) une modélisation de l'évolution de la flore intégrant véritablement les sources de biais (effets équipe et saisonnalité) à partir de l'ensemble des sources disponibles (exercices d'intercalibration, visites de contrôle, passages de printemps et d'été). Numéro de notice : 17702 Affiliation des auteurs : IFN+Ext (1958-2011) Thématique : FORET Nature : Recueil / ouvrage collectif DOI : sans En ligne : https://hal.science/hal-00576688 Format de la ressource électronique : vers HAL Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=99845 Que savons-nous de l’Ailante (Ailanthus altissima (Miller) Swingle) ? / Pascal Collin in Revue forestière française, vol 59 n° 2 (mars - avril 2007)
[article]
Titre : Que savons-nous de l’Ailante (Ailanthus altissima (Miller) Swingle) ? Type de document : Article/Communication Auteurs : Pascal Collin, Auteur ; Yann Dumas, Auteur Année de publication : 2007 Article en page(s) : p. 117-130 Note générale : Bibliographie Langues : Français (fre) Descripteur : [Vedettes matières IGN] Végétation
[Termes IGN] Ailanthus altissima
[Termes IGN] espèce exotique envahissante
[Termes IGN] France (administrative)Résumé : (Auteur) L’Ailante glanduleux (Ailanthus altissima (Miller) Swingle) est un arbre d’origine chinoise introduit en France durant la deuxième moitié du XVIIIe siècle. Il fut au départ planté en ville dans les espaces verts, puis fut l’objet d’une phase de plantation courte mais intensive dans l’objectif de produire de la soie. Il est aujourd’hui très répandu dans le milieu naturel et manifeste localement un comportement envahissant, notamment dans des forêts claires ou des pelouses. L’herbicide naturel et le nombre très élevé de fruits qu’il produit, mais aussi sa croissance rapide et sa faculté de reproduction végétative sous forme de drageons ou de rejets sont des caractéristiques biologiques essentielles pour permettre d’expliquer son caractère envahissant. Cet arbre offre des atouts variés mais le risque d’érosion de la biodiversité qu’il occasionne est à l’origine de recherche de méthodes pour son contrôle. Il serait sage de ne plus le planter et de surveiller sa répartition. Numéro de notice : IFN_4811 Affiliation des auteurs : non IGN Thématique : FORET Nature : Article DOI : 10.4267/2042/28895 En ligne : https://doi.org/10.4267/2042/28895 Format de la ressource électronique : URL article Permalink : https://documentation.ensg.eu/index.php?lvl=notice_display&id=72906
in Revue forestière française > vol 59 n° 2 (mars - avril 2007) . - p. 117-130[article]Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 133-07021 RAB Revue Centre de documentation En réserve L003 Disponible IFN-001-P000682 PER Revue Nogent-sur-Vernisson Salle périodiques Exclu du prêt